Repéré par Vincent Bolloré qui lançait sa chaîne Direct 8

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  • Le 1 janvier 2012
Nom: Florent Peiffer
Fonction actuelle: Journaliste, Itélé
Diplôme Audencia: M2 Scom 02
Nationalité: Française
Résidence: Paris 


J'ai choisi SciencesCom (après SciencesPo Rennes et une année au Mexique à fairede la radio) car je ne savais pas si je voulais aller vers le journalisme ou lemanagement. Cette année m'a aidé à y voir clair, à libérer mon énergie et à utiliser tous les outils nécessaires à mon futur projet.

Après l’école, j'ai intégré la société de production audiovisuelle 2P2L en tant que journaliste-enquêteur pour une émission d'actualité destinée aux jeunes (Mon Kanar sur France 3). J'ai appris les bases du métier, l'écriture, la caméra, … et fait de nombreuses rencontres. François Pécheux, journaliste et cofondateur de 2P2L, a notamment cru en moi et m'a fait confiance. Je suis resté plus de 3 ans dans cette société passant du poste d'enquêteur à celui de journaliste sur le terrain. Cela m'a permis de voyager, de réaliser mon premier documentaire « le viol comme arme de guerre » et de faire mes premières chroniques à l'antenne.

Repéré par Vincent Bolloré

J'ai alors été "repéré" par Vincent Bolloré qui lançait sa chaîne Direct 8 et intégré la rédaction au lancement. L’aventure a duré un peu moins d'un an. Des heures et des heures de direct, sans toujours très bien savoir où l'on va…une expérience étrange mais enrichissante.

En 2006, je suis parti faire du reportage quelques mois en tant que pigiste pour 2P2L et pour Canal + qui m'a engagé pour suivre les équipes africaines durant le mondial de football en Allemagne. C'est à cette époque que j'ai eu vent d'un casting pour une nouvelle chaîne internationale : France 24. J’ai été embauché et suis resté 4 ans dans cette chaîne assez extraordinaire : 36 nationalités et une ambiance de start-up. J'ai présenté les JT, d'abord le week-end puis la semaine en matinale, tout en présentant un magazine sur le Moyen Orient.

Aux commandes de la matinale d’i>TELE

En 2010, j’ai rejoint i>TELE (Canal+). Autre ambiance. Plus tendue, plus attentive à la concurrence… plus professionnelle aussi. J'ai beaucoup travaillé pour trouver ma place dans cette rédaction, j'ai monté quelques marches, franchi quelques obstacles, et me voilà aujourd'hui à la présentation de la matinale week-end, l'une des meilleures audiences de la chaîne. Je suis aussi chargé de la préparation de la tranche, caler les reportages, envoyer les équipes sur le terrain, valider les sujets, trouver les invités. C'est un travail passionnant même s'il est de plus en plus stressant … Certains ; jours on a envie de tout arrêter et puis vous commentez l'élection d'Obama, l'arrestation de DSK, les révolutions arabes ou la mort de Mandela…et vous ne pouvez plus quitter le plateau !

Mes souvenirs de SciencesCom

Je garde un bon souvenir de SciencesCom, ces heures passées à essayer de monter les 30 secondes d'images que nous avions tournées, les présentations de campagne de communication, les idées qui fusent et la personnalité des élèves.SciencesCom pour moi c’est cette capacité à faire travailler les gens ensemble, à intégrer les élèves dans une logique professionnelle où l'on doit parfois arrêter de compter les heures. La création d'un lien aussi au sein des promotions. Ce lien est déterminant, on ne crée rien sans 'échange, l'écoute et aussi les franches rigolades…
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