Une nouvelle tendance en matière de classements : la e-réputation
- Get Involved
- Le 1 mars 2017
Avis Google, commentaires Facebook, tweets... tous les contenus dynamiques orchestrés par les différentes communautés, font et défont quotidiennement l'image d'une structure ou d'un individu.
Récemment, un classement réalisé par le site Slate.fr (magazine en ligne proposant analyses, enquêtes et commentaires sur l'actualité) s’est attaché à classer les écoles de commerce françaises en fonction des avis et étoiles spontanément publiés sur Google.
Le réseau social Linkedin a, de son côté, déployé aux USA (et donc sûrement bientôt en Europe…), un nouveau système de classement, concernant les universités. Le réseau identifie les entreprises dans lesquelles les candidats souhaitent travailler, puis regarde la formation faite par les salariés qui travaillent dans ces entreprises convoitées. Enfin, le pourcentage de diplômés d’une université ayant accédé à ces postes recherchés est analysé.
Une autre option permet, en fonction d’objectifs de carrière précis, de dénicher les formations les plus adaptées. Par exemple, si je veux démarrer ma carrière comme chef de produit chez Danone, quelle sont les formations qui ont le plus de chance de me mener vers ce poste ?
Le rayonnement positif d'une école comme Audencia Business School sur ces nouveaux médias est indispensable pour sa notoriété, sa place dans les classements et donc la valeur des diplômes.
Comment participer au rayonnement de l’école ?
Concrètement, vous pouvez suivre les comptes @audencia sur Facebook, Twitter et Instagram, la page école Audencia Business School sur LinkedIn sans oublier Google +, en mettant des notes et des commentaires sur chacun des supports. Vous pouvez également suivre audenciatv sur Youtube.
Demain, tous ces avis/commentaires seront au centre de tous les classements.
Anticipons et, dès aujourd'hui, faisons tous ensemble rayonner notre école !
Nous comptons sur vous.
Frank Dormont
Directeur de la communication
Audencia Business School
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Audencia donne la parole à ses diplômés !
Lors de l’événement « Parole de diplômés » qui a eu lieu les 30 janvier et 6 février, plusieurs dizaines de diplômés sont venus à l’école raconter leur parcours et partager leur expérience auprès des étudiants. Une expérience riche d’enseignements non seulement pour les étudiants, avides de poser des questions sur la recherche d’emploi, l’intégration, le quotidien professionnel de leurs aînés, mais également pour les diplômés. Ainsi Benoît Delelis (GE 04), Responsable contrôle de gestion chez Air Liquide Medical System était présent car il « avait à cœur d'aider les étudiants à faire tomber leurs a priori sur le monde de l'entreprise. Les aider aussi à comprendre combien la diversité des parcours est une chance ; il y a tant de chemins différents pour aller vers un même but : l'accomplissement de soi, avec son unicité propre. » Mathieu Cormoreche (GE 11), auditeur senior chez Mazars avait, lui, comme objectif de « démystifier le monde de l’entreprise, surtout dans un métier comme l’audit, porteur de nombreux préjugés. Il ne s’agit ni de donner l’image toute noire ni l’image toute rose, uniquement une réalité que les étudiants se figurent très rarement. J’essaie autant que possible de mettre en comparaison les métiers et de donner des perspectives aux étudiants. » Au terme de l’événement, pour Pierre Reinisch (GE 13), le bilan est excellent : « mon entreprise de conseil en ingénierie culturelle et touristique – In Extenso TCH – a déjà reçu 2 candidatures d’étudiants audenciens pour des stages de fin d’études. On croise les doigts ! Quant aux inscriptions au club Culture & Management, elles sont montées en flèche ! ». Même son de cloche chez Benoît Delelis : « C'est une certitude : le lien est la valeur ajoutée principale de cette rencontre, il suffit de le mesurer aux nombres de prises de contact qui ont suivi. Les étudiants osent décrocher leur téléphone à la recherche d'un conseil ou d'un stage. Aujourd'hui je suis en contact avec trois d'entre eux pour les coacher. Il y a beaucoup de joie à aider un jeune à passer les étapes... de l'accomplissement de soi ! Alors n'hésitez pas à vous appuyer sur nous !». Mathieu Cormoreche retient de son côté que « le lien s’établit assez facilement. Cet évènement permet aussi aux étudiants de voir que le réseau existe et que nous sommes disponibles pour les aider. »
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Destinée à collecter les fonds au sein d’une promo, la première opération « class gift » a été lancée avec succès par la Fondation Audencia, auprès de la promo 2016 qui a su y répondre avec enthousiasme ! Le principe : les étudiants sont appelés à faire un don financier à la Fondation, et l’argent collecté sert à abonder un fonds versé à un projet que les étudiants vont sélectionner. L’objectif symbolique de cette première opération : 2016€ a été battu en un temps record. Souvent, les étudiants fourmillent d’idées innovantes et viennent les proposer à l’Ecole qui n’avait, jusqu’à présent, pas toujours de fonds dédiés. Inspiré de grandes institutions américaines telles que Georgia Tech Student Foundation ou Boston University, le class gift permet de collecter des fonds afin de les allouer à un projet, porté par les étudiants et participant au rayonnement de l’école. Tous les étudiants ayant un projet collectif ou individuel peuvent faire une demande de fonds à la condition que le projet ait un impact positif sur Audencia. Pour cette première édition, la Fondation Audencia a reçu plus de 20 candidatures ! Un vrai succès ! La gagnante, Victoria Mandefield développe un projet « Infomeless » à fort impact sociétal. Son idée est d’utiliser le numérique pour informer les personnes en situation de grande précarité (sans-abri, réfugiés). Victoria explique : " Le déclic Infomeless s’est produit alors que je prenais le bus : sous l’abribus dormait un sans-abri, contrastant avec l’écran tactile de l’abri. Et si cette technologie pouvait l’aider, lui qui dormait dessous ? " En soutenant la Fondation Audencia, les donateurs permettent à l’école de soutenir et d’inspirer ceux qui inventeront le monde de demain.
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- Le 1 mars 2017