Jonathan TREVIER (GE 13), ROBOBOX
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- Le 19 décembre 2017
- 19 DECEMBRE -
Jonathan TREVIER (GE 13)
Fondateur de ROBOBOX
Ce passionné nous en dit plus...
J’avais appris quelques rudiments de programmation, et je voulais m’intéresser au potentiel de l’intelligence artificielle. Je suis donc allé dans l’espace de coworking du Numa pendant un mois, à la recherche d’une idée de business.
L’idée de Robobox m’est venue alors que j’aidais des personnes rencontrées au Numa à monter un projet de domotique. Je les conseillais sur le type de technologie à adopter (Arduino) et me suis alors dis qu’une initiation progressive à la programmation d’objets serait pas mal.
J’ai aussi pensé qu’il serait intéressant de mettre en contact les capteurs et les moteurs en les glissant à l’intérieur de robots. L’impression 3D est alors apparu comme une évidence. Aujourd’hui, ce sont une quinzaine d’imprimantes 3D qui tournent jours et nuits au sein d’une usine connectée que nous avons conçue.
Je me suis directement mis hors de ma zone de confort en lançant un projet sur une idée originale, dans un domaine auquel je ne connaissais rien. J’ai alors dû apprendre sur le tas la programmation d’objets connectés, la modélisation 3D, l’impression 3D, la conception de circuits imprimés, la programmation web, le commerce avec la Chine, etc.
Après presque deux ans, Robobox a plusieurs milliers de clients et vend ses kits de programmation à travers le monde.
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Après mes passages dans une maison d’édition, au Louvre puis à la Fondation du patrimoine, j’ai acquis en plus des beaux livres la conviction qu’il me fallait continuer à travailler dans un domaine créatif. Certains meubles ou luminaires design sont pour moi de véritables œuvres d’art, même quand ils sont produits en séries. Ils revêtent une dimension supplémentaire aux œuvres des musées : ils sont directement et concrètement UTILES ! On peut y manger, s’y reposer, y travailler, y dormir… génial non ? Thibault avait déjà monté une startup et connaît bien l’écosystème du digital et de l’entrepreneuriat. C’est le voir travailler avec tant d’énergie et de courage sur son ancienne entreprise qui m’a donné envie de sortir de mon CDI tranquille et de vivre à mon tour cette aventure. Lors de notre rencontre, nous avons découvert notre passion commune pour le design. Nous sommes tous les deux incollables sur les modèles iconiques et sur les marques trendy. Nos soirées « posées » se passent devant les replay de la Maison France 5. Sur nos tables de nuit : ELLE Déco et IDEAT. (sur cette photo, un tabouret Pols Potten sur lequel j’avais flashé au Salon Maison et Objet 2016. Miracle : un jour un partenaire nous le confie à 80€ au lieu de 225€ ! Il nécessite 90 jours de travail artisanal car 12 couches de laque sont posées, séchées puis polies à la main). L’idée Zeeloft nous est venue comme bien souvent d’une frustration. A force de voir tous ces meubles sublimes dans les magazines de déco et émission TV, nous avions forcément envie de nous procurer du mobilier de qualité. Sauf qu’à 27 ans, pas facile d’avoir le budget pour s’acheter ces merveilles au prix fort. Donc lorsque nous repérions une pièce ou une marque qui nous plaisait, nous nous mettions des alertes sur Le Bon Coin. Après des semaines de recherches, l’étagère Kann Design de nos rêves tombe : un modèle d’exposition proposé dans le sud. Génial. Mais quelle galère pour le paiement, organiser une livraison seule, s’assurer qu’il ne s’agit pas d’une copie etc… C’est là que nous avons eu l’idée de Zeeloft ! Quant à l’étagère, pour mettre en valeur sa structure de métal blanc, nous avons peint notre mur en bleu canard, une couleur scandinave très tendance cette année... Ça, c’est la suspension Cinna de mes rêves. Elle se nomme « Parachute ». Mes collègues de la Fondation du patrimoine se sont cotisés dans toute la France pour me l’offrir quand j’ai quitté la Fondation pour Zeeloft. J’étais très émue. Nous avons choisi notre nouvel appartement exprès afin d’avoir la hauteur sous plafond suffisante pour l’accrocher ! Elle symbolise vraiment mon changement de vie et le début de notre aventure. Deux ans plus tard, Cinna est une référence que l’on met souvent en avant sur notre site car les créations de cette marque française et les promotions que nous offrons sur ces produits valent vraiment le coup. Je suis toujours aussi fan. Mon auto-cadeau de Noël de l’année dernière : un centre de table en métal de notre tout premier partenaire : Matière Grise. Ils fabriquent tout à Lyon à la main et collaborent avec de jeunes designers français, comme Constance Guisset (l’auteur de la célèbre suspension Vertigo, qui part en 5min dès qu’elle arrive sur notre site…). J’adore particulièrement leur originalité et la palette de couleur immense qui est proposée pour chaque création. Derrière le centre de table, un chandelier et une coupe Kubus de By Lassen, une marque danoise que j’affectionne aussi beaucoup. Cette année, je crois que mon prochain auto-cadeau de Noël sera de jolies créations en céramique signées Petite Friture (l’éditeur frenchie dans le vent actuellement). Elles me font de l’œil depuis un moment… Nos tables basses Wind sont également signées Matière Grise. Je les avais repérées au salon Maison & Objet 2015. Quand on a commencé à travailler avec eux, j’ai littéralement sauté sur ces tables. Ce sont les prototypes qui meublaient le salon de la designer, Victoria Wilmotte ! Encore deux auto-cadeaux de nous à nous pour fêter deux étapes importantes du développement de Zeeloft. Le célèbre fauteuil Diamond de Harry Bertoia réédité par Knoll et le tapis Anémone de La Chance. Ces deux-là, on en rêvait bien avant Zeeloft alors quand nous les avons dénichés à moitié prix, on a craqué. Le tapis, en laine, semble onduler sur le sol. Il est aussi beau que doux. Je l’adore ! Là aussi, une réédition iconique : la célèbre Panton Chair de Vitra (ici dénichée à moitié prix). Nous l’avons associée à une lampe Birdie de Foscarini du même coloris. C’est une marque italienne de luminaires qui cartonne avec ses créations originales et innovantes. Un dernier coup de cœur : l’applique Sorcier de La Chance. Elle s’inspire d’un masque vaudou. L’effet de la lumière diffusée vers le haut et vers le bas et qui filtre au travers des petits trous de métal nous plait beaucoup. La Chance est une jeune marque française canon que nous avons été très fiers d’ajouter à nos bons plans cette année. Pour jouer à fond avec le style tropical de l’applique, nous lui avons offert un bananier. Quand je l’ai acheté au printemps dernier, il faisait 50cm. Maintenant il va bientôt toucher le plafond et je me retrouve un peu débordée par cette folle croissance ! Je suis plutôt fière de ma couronne de Noël « DIY » cette année ! Les branches m’ont coûté 2€ au vendeur de sapins du marché St Quentin et je les ai fixées autour d’un porte manteau en métal auquel j’ai donné une forme ronde. Les astuces, les bons plans et la créativité font depuis toujours partie de ma vie. Un côté débrouille que l’on retrouve, il me semble, dans le quotidien de tous les entrepreneurs ! Joyeux Noël à tous ! << (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici >> Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...
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Moving transportation forward in Qatar
Féras Souissi, MSc (Master of Science) in Management-Engineering, Grande Ecole (2010) Background: Féras Souissi of France has master’s degrees in customer relationship management and civil engineering. He graduated with an MSc in Management-Engineering from Audencia Business School’s Grande Ecole programme in 2010. Prior to that, he earned a Master in Engineering from Ecole des Mines de Douai. He is fluent in French, English and Arabic. Current occupation: Féras is commercial manager for the GDVC Light Railway Transit System’s Depot and At-Grade Stations projects in Qatar. Once completed, this new system will provide convenient transportation for those living in, and commuting to, Lusail City. Féras manages a team of procurement officers, contract administrators, quantity surveyors and document controllers. His team handles the subcontracting and procurement processes – including sourcing, quote requests, prequalification, purchase order negotiation, contract negotiation and administration, payment certification, correspondence, claim management, and delivery of good and services. He also manages the main contract with the client. Féras loves managing a diverse team, including people from the United Kingdom, France, Lebanon, the Philippines and India. “When I finished my engineering degree, the reason I went to Audencia was to develop my commercial management skills. I am a ‘people’ person – I wouldn’t be able to do a job that requires me to sit alone in my office all day!” Féras says managing a team of individuals from vastly different cultures is also a daily challenge. “Most of my work, such as contractual negotiation and payment certification, is entirely communicating with people, in order to be as effective as possible for the commercial benefit of the project. On this project, I have been exposed to professionals from places as different as the Middle East, Europe, Asia and Africa … I have learned a lot from this experience in terms of communication and adjustment to different cultures. You may deal with problems when it comes to managing contracts, but your ability to adjust your communication depending on your audience will always be key to finding win-win solutions.” As an example, Féras explains that communication styles in Middle Eastern countries vary significantly. Communication can sometimes be more forceful than in Western countries, both for cultural reasons and because English is not the first language of many people in the area. “I sharpened my negotiation skills with Middle Easterners with my siblings while growing up,” jokes Féras, who was born in France but has parents and siblings from Tunisia. Motivation: Féras’s parents inspired him to work hard and set ambitious career goals. “My parents grew up in Tunisia and went to France to find a better future for their family. I simply want to make them proud by having a respectable professional career.” He is also committed to his work, noting that his working conditions and lifestyle are good, and he enjoys the challenge of managing a budget of more than $1.5 billion. “I also really enjoy developing the skill sets of my team members. I believe that the keys to professional self-development are recognition and exposure to new challenges.” Féras’s next goal – his current project concludes in 2018 – is to manage a commercial office. Eventually, he plans to become an entrepreneur, perhaps in consulting. “In this part of the world, consulting companies are not responding well enough to new challenges. As an example, we are only just now starting to see that companies in Qatar need help with their cash flow and require more engineering skills to reduce their direct costs.” Personal interests and passions: Féras enjoys sports, particularly football (soccer). “It’s how I relieve stress,” he says. He is also a mentor in the Aréli Emergence Programme, which helps young French students who come from disadvantaged suburbs, and from immigrant families with limited finances. The programme provides students with scholarships and mentors to help them prepare for the professional world. “I come from a neighbourhood where many kids don’t finish high school or go to college. Aréli gave me a scholarship and provided me with a mentor, both when I was in high school and while I was at Audencia. It is my turn to give back.” Staying in touch with Audencia: Féras is still in touch with his fellow Audencia classmates – especially those who had also previously studied engineering. They take the opportunity to visit one another when they travel. Advice to students and graduates: Féras says, “Audencia is very open to the world, so while there, you have the chance to travel, get a taste of cultural differences and learn to accept that within the same situation, different people don’t see things the same way. It’s important to be open-minded; never think that you own the truth.” He also stresses that it’s important to find a job where you have fun and are motivated. “Get ready to work really hard – and you’ll get wherever you want.” Most memorable experience at Audencia: Féras says his experience at Audencia can’t be distilled into one moment. “Audencia opened doors for me and gave me options I wouldn’t have had with just an engineering degree. Contracts in construction require hard skills, but also management skills. Without Audencia, I would probably have focused on an engineering career. Now I am a commercial manager and am exposed to challenges even more in line with my interests. I owe this to Audencia.”
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- Le 20 déc. 2017