Studying in a non-English-speaking country takes you out of your comfort zone to learn new things
- Keep In Touch
- Le 1 janvier 2012
Current position: International Trade Advisor at Indo French Chamber of Commerce & Industry, Mumbai
Degree earned at Audencia: IMM 11
Nationality : Indian
Residence : Mumbai - India
Why did you choose Audencia Nantes to study?
The reasons why I chose Audencia Nantes was firstly to study in a non-English speaking country as it takes you out of your comfort zone and pushes you to learn new things. The course structure, diversity in class and the ranking of the school made Audencia an easy choice for my masters.
What did you enjoy the most?
The best part about studying at Audencia was the diversity in class, class interactions and the perspectives each of the classmates brings. Besides, it gave me the opportunity to explore Europe during my education. The experiences of the professors teaching the class was exceptional and the international exchanges facilitated by Audencia made it a truly International Programme. Studying in Audencia I was very active with international youth affairs and had a chance to participate in numerous International Youth Conferences and represent India in different capacities.
After your studies at Audencia Nantes, why did you decide to go back to India?
The opportunities & growth in India are immense and given the exposure of studying in France it opens doors to start an International career.
What kind of job are you doing right now?
I am working with the Indo-French Chamber of Commerce now. In my current role I am consulting French companies entering or expanding in the Indian market. The role involves engaging with them to work on the understanding of markets & opportunities, designing & working on an entry strategy and hand-holding in setting-up their company and office. The role also involves mediation in case of conflicts arising during trade.
Besides working at the Chamber of Commerce, along with an Audencia Alumni Umesh Mukhi and contacts from the International Youth Conferences we started an International Think Tank in India that for the development and implementation of concepts of Sustainable Leadership. In our journey of developing this concept we have partnered with organizations like UNESCO, WBCSD and Young European Leaders to name just a few. The two major domains that we are currently focusing on are Entrepreneurship & Education. As a team we have collectively been invited and represented the Sustainable Leadership Initiative in India, France, Serbia, Mauritius, Qatar, Australia & Macedonia.
Any tips for our students who are thinking of working in India?
The current emerging economies are not only developing as manufacturing hubs for the developed world but also are potentially huge markets for any business. The industries and sectors in these economies are continuously evolving. This requires fresh ideas, out-of-the-box thinking and smart execution capabilities and this is what the students must focus on developing.
En savoir plus sur ...
Dans la même catégorie
-
J'ai fait un tour du monde pour vivre comme un reporter ce qui m’a rendu débrouillard
Nom: Charles Audier Fonction actuelle: Journaliste Diplôme Audencia: M2 Scom - 2013 Nationalité: Française Résidence: Au cours de mon Bachelor à SciencesCom, et suite à un exercice d’écriture, j’ai eu l’opportunité de rencontrer la rédaction de GQ. C’est à partir de ce moment là que je suis entré dans le grand bain. Des journées de dingues, des missions diverses et variées et une nécessité d'être au courant de tout dans le monde du Lifestyle : les designers et leurs travaux, les sportifs et leur parcours, toutes les actualités du monde de l'automobile, du High Tech, de la musique…J'ai ensuite entrepris de faire un tour du monde et de vivre comme un reporter. Cette expérience m’a rendu débrouillard, disponible n'importe où et n'importe quand pour les rédactions. En revenant je n'étais plus le "jeune", j'étais devenu opérationnel. J'ai alors voulu repenser les médias à mon niveau et le transmedia m’est apparu comme une évidence. Dans un domaine que je maîtrisais, le surf, on a réalisé un dossier transmedia pour GQ, une première : des pages dans le Mag sur les tendances nautiques, des articles et des interviews sur le web et un film dédié sur l'iPad. Un pari qui s’est avéré gagnant puisque des licences GQ de Condé Nast en Amérique latine et Afrique du Sud ont repris l'idée. À la fin de mon Cycle master, j'avais 3 années intenses de formation derrière moi, un tour du monde dans les pattes et 4 stages à mon actif.SciencesCom m'avait donné les pré-requis académiques dans le journalisme mais aussi les SIC, la sociologie, le management des médias, et l’équipe pédagogique avait su me motiver en me guidant vers les outils nécessaires pour devenir journaliste. Aujourd'hui je valse entre les magazines papiers, la TV en tant que chroniqueur pour le Grand 8, le net et les projets transmedias.En ce moment par exemple je travaille en free-lance sur plusieurs dossiers High Tech tout en préparant une expédition dans le grand nord canadien pour partager les aventures des mushers là-bas. Mais pour le public français, sur son téléphone, sa tablette ou son ordi, avec des photos, des vidéos et des articles pensés en fonction du support ou du moment de la journée... Pour le moment je me contente de me faire une place dans le journalisme. Ca consiste à bosser sans limites, ne pas hésiter à entreprendre et ne pas mettre une idée de côté juste parce qu'on n'a peur qu'elle ne fasse pas mouche du premier coup. Et comme on dit : "Avant d'enfreindre les règles il faut les maîtriser". Alors une fois que j'aurais travaillé dans tout un tas de médias différents, je pourrais envisager de les critiquer puis de les faire évoluer ! Mais chaque chose en son temps."
1- Keep In Touch
- Le 1 janv. 2012
-
Se préparer simultanément aux métiers de la communication et de la création de contenus
Nom: Daniel BÔ Fonction actuelle: PDG de QualiQuanti Diplomé Audencia: Bac + 5 Scom 85 Nationalité: Française Residence: DANIEL BÔ : LE PAPE DU BRAND CONTENT Après SciencesCom (et HEC), Daniel Bô travaille en agence de publicité (Saatchi, Lintas et Equateur) notamment sur des budgets média (TF1, F3) puis il a l'opportunité de faire l'Académie Carat Espace avant de créer son entreprise, dont il raconte l'histoire dans un article de blog. « QualiQuanti est un institut d'études et un laboratoire de recherche qui travaille en priorité sur les marques, la communication et les médias. Ma conviction est que les études et la recherche sont des sources de créativité (creative intelligence) et permettent de produire du contenu qui fait autorité. Nous avons notamment lancé womenology.fr, Ideeslocales.fr et brandcontent.fr, trois sites de contenus qui s'appuient sur les études. » S’intéressant à toutes les formes de communication des marques, il a étudié le publirédactionnel, le placement de produits et les sites de marques. C’est ainsi que Daniel Bô est devenu « le » spécialiste du Brand Content : « le Brand Content est le fait que les entreprises produisent du contenu et deviennent des médias. Red Bull incarne parfaitement cette tendance que nous avons étudiée en profondeur dès 2007 et sur laquelle j'ai co-écrit un livre en 2009 chez Dunod. » Les entreprises ont de bonnes raisons de choisir le Brand Content : « sa force réside pour l’essentiel dans l’expression “Content is king“. Il permet de développer une relation vivante et riche avec le consommateur par le biais des contenus, générer et fidéliser une audience intéressée, créer des bibliothèques de contenus, mobilisables dans les points de contact de la marque : magasins, expositions, réseaux sociaux, médias privés, etc., instaurer un univers culturel auquel le consommateur adhère et s’identifie. Avec les contenus, les marques peuvent s’approprier les atouts réservés aux médias : influence, rayonnement, audience, animation d’une communauté, abonnement, partenariats avec d’autres acteurs. Le contenu de marque peut aussi jouer d’autres rôles : affirmation d’une expertise, génération de leads, monnaie d’échange… S’il a une vraie valeur, il peut être monétisé, avoir son propre business model. Pour vous convaincre de son intérêt, je vous invite à consulter http://veillebrandcontent.fr/ et à voir plus de 2700 initiatives de contenus de marque. » Daniel Bô n’imaginait probablement pas ce que serait son quotidien aujourd’hui précisément lorsqu’il était à SciencesCom, mais un « pont » était déjà en construction : « SciencesCom présente l'immense avantage de préparer simultanément aux métiers de la communication et de la création de contenus. L’école a compris dès 1986 les passerelles qu’il y avait entre les fonctions de journalisme et de communication. A l'heure du brand content où les marques, mais aussi les ONG, les régions, les fédérations sportives, les individus deviennent des médias, cette vision est capitale. »
- Keep In Touch
- Le 1 janv. 2012
Autres actualités
-
J'ai fait un tour du monde pour vivre comme un reporter ce qui m’a rendu débrouillard
Nom: Charles Audier Fonction actuelle: Journaliste Diplôme Audencia: M2 Scom - 2013 Nationalité: Française Résidence: Au cours de mon Bachelor à SciencesCom, et suite à un exercice d’écriture, j’ai eu l’opportunité de rencontrer la rédaction de GQ. C’est à partir de ce moment là que je suis entré dans le grand bain. Des journées de dingues, des missions diverses et variées et une nécessité d'être au courant de tout dans le monde du Lifestyle : les designers et leurs travaux, les sportifs et leur parcours, toutes les actualités du monde de l'automobile, du High Tech, de la musique…J'ai ensuite entrepris de faire un tour du monde et de vivre comme un reporter. Cette expérience m’a rendu débrouillard, disponible n'importe où et n'importe quand pour les rédactions. En revenant je n'étais plus le "jeune", j'étais devenu opérationnel. J'ai alors voulu repenser les médias à mon niveau et le transmedia m’est apparu comme une évidence. Dans un domaine que je maîtrisais, le surf, on a réalisé un dossier transmedia pour GQ, une première : des pages dans le Mag sur les tendances nautiques, des articles et des interviews sur le web et un film dédié sur l'iPad. Un pari qui s’est avéré gagnant puisque des licences GQ de Condé Nast en Amérique latine et Afrique du Sud ont repris l'idée. À la fin de mon Cycle master, j'avais 3 années intenses de formation derrière moi, un tour du monde dans les pattes et 4 stages à mon actif.SciencesCom m'avait donné les pré-requis académiques dans le journalisme mais aussi les SIC, la sociologie, le management des médias, et l’équipe pédagogique avait su me motiver en me guidant vers les outils nécessaires pour devenir journaliste. Aujourd'hui je valse entre les magazines papiers, la TV en tant que chroniqueur pour le Grand 8, le net et les projets transmedias.En ce moment par exemple je travaille en free-lance sur plusieurs dossiers High Tech tout en préparant une expédition dans le grand nord canadien pour partager les aventures des mushers là-bas. Mais pour le public français, sur son téléphone, sa tablette ou son ordi, avec des photos, des vidéos et des articles pensés en fonction du support ou du moment de la journée... Pour le moment je me contente de me faire une place dans le journalisme. Ca consiste à bosser sans limites, ne pas hésiter à entreprendre et ne pas mettre une idée de côté juste parce qu'on n'a peur qu'elle ne fasse pas mouche du premier coup. Et comme on dit : "Avant d'enfreindre les règles il faut les maîtriser". Alors une fois que j'aurais travaillé dans tout un tas de médias différents, je pourrais envisager de les critiquer puis de les faire évoluer ! Mais chaque chose en son temps."
1- Keep In Touch
- Le 1 janv. 2012
-
Se préparer simultanément aux métiers de la communication et de la création de contenus
Nom: Daniel BÔ Fonction actuelle: PDG de QualiQuanti Diplomé Audencia: Bac + 5 Scom 85 Nationalité: Française Residence: DANIEL BÔ : LE PAPE DU BRAND CONTENT Après SciencesCom (et HEC), Daniel Bô travaille en agence de publicité (Saatchi, Lintas et Equateur) notamment sur des budgets média (TF1, F3) puis il a l'opportunité de faire l'Académie Carat Espace avant de créer son entreprise, dont il raconte l'histoire dans un article de blog. « QualiQuanti est un institut d'études et un laboratoire de recherche qui travaille en priorité sur les marques, la communication et les médias. Ma conviction est que les études et la recherche sont des sources de créativité (creative intelligence) et permettent de produire du contenu qui fait autorité. Nous avons notamment lancé womenology.fr, Ideeslocales.fr et brandcontent.fr, trois sites de contenus qui s'appuient sur les études. » S’intéressant à toutes les formes de communication des marques, il a étudié le publirédactionnel, le placement de produits et les sites de marques. C’est ainsi que Daniel Bô est devenu « le » spécialiste du Brand Content : « le Brand Content est le fait que les entreprises produisent du contenu et deviennent des médias. Red Bull incarne parfaitement cette tendance que nous avons étudiée en profondeur dès 2007 et sur laquelle j'ai co-écrit un livre en 2009 chez Dunod. » Les entreprises ont de bonnes raisons de choisir le Brand Content : « sa force réside pour l’essentiel dans l’expression “Content is king“. Il permet de développer une relation vivante et riche avec le consommateur par le biais des contenus, générer et fidéliser une audience intéressée, créer des bibliothèques de contenus, mobilisables dans les points de contact de la marque : magasins, expositions, réseaux sociaux, médias privés, etc., instaurer un univers culturel auquel le consommateur adhère et s’identifie. Avec les contenus, les marques peuvent s’approprier les atouts réservés aux médias : influence, rayonnement, audience, animation d’une communauté, abonnement, partenariats avec d’autres acteurs. Le contenu de marque peut aussi jouer d’autres rôles : affirmation d’une expertise, génération de leads, monnaie d’échange… S’il a une vraie valeur, il peut être monétisé, avoir son propre business model. Pour vous convaincre de son intérêt, je vous invite à consulter http://veillebrandcontent.fr/ et à voir plus de 2700 initiatives de contenus de marque. » Daniel Bô n’imaginait probablement pas ce que serait son quotidien aujourd’hui précisément lorsqu’il était à SciencesCom, mais un « pont » était déjà en construction : « SciencesCom présente l'immense avantage de préparer simultanément aux métiers de la communication et de la création de contenus. L’école a compris dès 1986 les passerelles qu’il y avait entre les fonctions de journalisme et de communication. A l'heure du brand content où les marques, mais aussi les ONG, les régions, les fédérations sportives, les individus deviennent des médias, cette vision est capitale. »
- Keep In Touch
- Le 1 janv. 2012