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    • Le 6 juin 2018

    Je Golfe, tu Golfes, nous Réseautons…

    Le golf porte des valeurs de passion, d’équité, de respect, de persévérance, d’humilité, mais aussi de plaisir, toujours dans des environnements de nature remarquable. Fondateur du club Golf Audencia Alumni, Gérard Crepel (GE 79) précise que « cette communauté permet de réunir, depuis 12 ans, des alumni passionnés, des cadres et entrepreneurs du monde de l’entreprise. Une occasion de développer son réseau, de partager en toute convivialité avec les dirigeants de la région Ouest et de Paris ». Michael Thoby (exec MBA 13), président d’Emotic, prend cette année le relai de cette animation et organise le Trophée Golf Audencia 2018 le 29 juin prochain : « Cette année, l’Ile d’Or présente un parcours remarquable sur la Loire pour nous accueillir, à 30 minutes de Nantes. On peut y découvrir ses frênes centenaires et son dessin de Michel Gayon. Des paysages exceptionnels ! »  Rendez-vous ce 29 juin à 12h30 sur place pour ce moment de convivialité ! 12h30 pour un parcours (formule de jeu ludique en Scramble à 3) 17h pour une initiation 19h pour le cocktail réseau (offert par Audencia Alumni – places limitées)   >> Inscriptions obligatoires : pour les golfeurs (initiation ou parcours)  /  pour le cocktail réseau <<

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    • Le 4 juin 2018

    Audencia remporte le prix "Ideas Worth Teaching"

    Le cours "Modèles économiques alternatifs" de Sandrine Stervinou, professeure à Audencia et responsable du département business & society, est le seul cours français primé parmi les 20 lauréats au monde.   Ce prix récompense les cours répondant aux grands enjeux sociétaux. Il est décerné par l’Aspen Institute qui consacre 20 cours dans le monde dispensés dans le cadre de programmes MBA ou équivalents. Ils sont jugés comme "cours exceptionnels préparant les futurs dirigeants à répondre aux plus grands enjeux sociétaux et à créer une version du capitalisme plus inclusive, juste et durable". Le cours "Modèles économiques alternatifs" de Sandrine Stervinou y est le seul cours lauréat de toute l’Europe. Il s'adresse aux étudiants ayant une formation générale en économie. Il présente les nouveaux business models et des solutions alternatives aux théories économiques conventionnelles. L’objectif est de faire prendre conscience aux étudiants qu’aujourd’hui, le monde évolue très rapidement. Ce cours a été développé avec le soutien d'Elvire Bornand, de Céline Louche, de Laura Nirello, de Cécile Renault et de Claire-Isabelle Roquebert.   "Le Master Audencia Grande Ecole est reconnu au niveau national et international dans le domaine du management  pour son engagement au quotidien en faveur de l'innovation et de la RSE. Conceptualisé il y a quelques années, le cours "Modèles économiques alternatifs" incarne cette ambition : être audacieux pour aider nos étudiants à devenir des managers responsables et les encourager à apprendre à oser !" Nicolas Arnaud, directeur Audencia Grande Ecole et Co-titulaire de la chaire Innovations Managériales   Plus d’informations sur les "Ideas Worth Teaching Awards"

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    • Le 1 juin 2018

    Et demain ? La blockchain au cœur du Stade !

    A lire aussi dans the mag #3 : Au cœur de la billetterie sportive : les tendances inno !   Amadou-Hamat SY (GE 00), filière ingénieur-manager, Directeur Associé de DT Consulting, l’un des quatre principaux opérateurs de systèmes numériques de gestion de billetterie sportive, est formel. Un cap a été passé en permettant à une poignée d’acteurs majeurs du secteur des indicateurs de pilotage et des tableaux de bords très complets pour une gestion optimisée de leur politique commerciale. Aujourd’hui, on gère la billetterie de façon ultra-organisée en s’appuyant sur une analyse très fine des comportements d’hier et sur une parfaite connaissance de ce qui se passe dans le circuit de commercialisation en temps réel. Et cette technologie n’est déjà pas accessible à tout le monde : seuls une vingtaine de gros clubs de foot ou de rugby et événements sportifs majeurs, comme Roland Garros, sont capables d’utiliser – et ont une véritable utilité de – ces nouvelles technologies de gestion de leur billetterie. Demain, la billetterie sera prédictive ou ne sera pas. L’enjeu est là : anticiper les comportements des consommateurs pour proposer une offre toujours plus performante, personnalisée, optimisée tant pour le spectateur que pour l’organisateur de l’événement. Pourquoi ne pas imaginer des systèmes adossés à la météo permettant de moduler le prix ou de faciliter la revente, l’annulation ou la transmission de billets en cas d’intempéries ? La prochaine révolution du secteur sera à base de blockchain, Amadou le pressent, même s’il avoue qu’aucun acteur en France ou dans le monde, n’a encore imaginé d’applicatif probant du concept aux problématiques des billetteries événementielles. Selon lui, le premier acteur à trouver et développer cet applicatif sera sans aucun doute à l’origine d’une rupture majeure et fondamentale dans le secteur.     Commentez / échangez sur cet article dans la communauté « Sport Business » ! 

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    • Le 1 juin 2018

    Le Mastère Spécialisé Management des Organisations de Sport et ses diplômés, par Anna Gerke

    Anna Gerke, professeur associé en management et spécialiste dans l’innovation et la stratégie du secteur sportif, dirige le Mastère Spécialisé Management des Organisations Sportives (MS MOS) développé par Audencia depuis 25 ans. « Le secteur du sport est en constante évolution. La professionnalisation et la commercialisation du sport de haut niveau, l’uberisation du sport amateur et les avancées technologiques font que le métier du manager du sport évolue aussi en permanence. Notre formation doit elle-aussi se transformer au gré de ces tendances. Pour cela nous avons besoin des diplômés qui sont au cœur de ces évolutions dans leur quotidien. Mais qui sont aussi des sources de partage d’expérience et de transmission intergénérationnelle exceptionnelles. J’invite tous les diplômés du MOS à se rapprocher de nous pour proposer de partager leur savoir et leur expérience professionnelle avec les étudiants. Mais aussi entre diplômés. Cela peut aussi se faire via Together, dans la communauté dédiée au MS MOS, dans laquelle il faut que nous rassemblions un grand nombre de diplômés du programme. Etienne Cassagne (GE 09) a accepté de témoigner il y a deux ans. Demain il va prendre le relais pour piloter le MS MOS pour l’année 2018-19. C’est une véritable opportunité pour continuer de renforcer les liens au sein du réseau des diplômés du MS MOS, que ce soit entre les diplômés eux-mêmes, entre diplômés et étudiants ou entre les diplômés et l’école. Cette communauté, forte et solide autour du programme, est en effet une véritable clé de développement et de rayonnement pour le MS MOS. » Etienne Cassagne a été l’un des premiers étudiants issu du Programme Grande Ecole à intégrer le MS MOS en dernière année, sur son année de spécialisation. Selon lui, « le MS MOS est un cursus orienté vers la professionnalisation de ses étudiants et leur préparation à la vie active dans l’univers du Sport Business. Grâce à la qualité de ses intervenants, la richesse de son programme et l’étendue de son réseau, notamment d’anciens élèves, le MS MOS est une chance pour tous ses étudiants de faire un premier pas dans cet univers du Sport Business et d’entrer dans la grande famille des diplômés MOS. »

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    • Le 1 juin 2018

    Parole à l’Association Audencia Alumni, avec Cécile Kergrohen

    Engagée de longue date avec RéseAudencia puis Audencia Alumni, Cécile Kergrohen (GE 93) est Présidente du Conseil de Surveillance de l’Association Audencia Alumni depuis juin 2017. Quelques jours après l’Assemblée Générale qui s’est tenue le 28 juin simultanément à Paris et à Nantes, Cécile dresse le bilan de l’année écoulée et évoque le projet collectif porté par l’équipe de bénévoles engagés pour le développement du réseau des diplômés d’Audencia.   Quelle est la mission de l’association Audencia Alumni ? La mission de l'association – développer les liens de diplômé à diplômé – ne change pas. Eric Dodin (Vice-président 2016-2017 ; Président 2017-2018) a insufflé une idée forte, structurer la mission d’Audencia Alumni autour de 3 piliers : accompagner, valoriser, transmettre. Accompagner les diplômés tout au long de leur parcours, dans et vers la réussite individuelle et collective en leur proposant des services adaptés et en densifiant la vie du réseau dans une logique de contribution peer to peer. Valoriser les diplômés à travers leurs succès, leurs parcours disruptifs, la diversité de leurs expériences, et ainsi créer de la valeur collective, innovante et responsable, au service du rayonnement de l’école et son réseau ;  Transmettre en partageant largement compétences, savoirs, expériences, entre diplômés mais aussi avec les futures générations d’Audenciens. Notre réseau doit savoir donner autant que recevoir. Le rôle de l’association dans ce contexte est de travailler sur le lien entre diplômés, avec une vraie souplesse de fonctionnement. Concrètement, nous nous organisons pour renforcer le rôle de l’association dans l’animation des communautés de diplômés, en démarrant par les Clubs. Nous devons éviter le sur-investissement de quelques bénévoles, élargir le cercle, mieux répartir la charge et impliquer plus de monde. Cela passe par redonner envie aux diplômés de prendre des initiatives, d'innover, de prendre contact les uns avec les autres, d'organiser des rencontres. Pas uniquement à l’occasion des événements mais aussi à distance, via des groupes de discussion, des prises de contact individuelles, sur Together ou sur les réseaux sociaux.   Comment voyez-vous la complémentarité entre l’association et l’école ? Quelles sont selon vous les clés d’une coopération constructive pour le développement d’Audencia Alumni ? La complémentarité école-association est pour moi une évidence. L'entité même Audencia Alumni symbolise d'ailleurs parfaitement cette complémentarité, à travers son nom, son fonctionnement et son mode de décision. Cette complémentarité est également nécessaire : le dynamisme du réseau de diplômés est devenu un critère important dans les classements des grandes écoles. Il est évident qu'une mutualisation des ressources est indispensable pour créer un cercle vertueux: attirer les meilleurs étudiants, favoriser le développement des carrières, faire rayonner sa formation, solliciter des dons pour la Fondation, enrichir sa formation... Ecole et diplômés ont tous à y gagner. La difficulté réside dans l'orchestration. Il y a d'abord un rapport au temps très différent entre l'équipe du pôle, dédiée à Audencia Alumni, et les diplômés actifs dans le réseau, qui ne peuvent y consacrer qu'une partie de leur temps. Nos cibles sont également légèrement différentes: l'école, à travers les actions du pôle, s'adresse aux diplômés, aux étudiants, mais aussi aux futurs étudiants en France et à l'international, aux entreprises, et plus largement aux journalistes, aux écoles concurrentes, aux partenaires... alors que l'association ne s'adresse qu'aux alumni d'Audencia, diplômés et étudiants. Il faut ajouter que le modèle sur lequel Audencia Alumni est très innovant, avec peu de « modèles » à copier ou réinterpréter. Il faut donc tout inventer, essayer des choses, rebondir. Mais c'est passionnant ! Never stop daring ;)   [Lire la suite de l’interview sur the_mag#3]

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    • Le 31 mai 2018

    Le Storytelling, un formidable outil de leadership !

    Audencia Careers et Audencia Alumni ont le plaisir de vous convier à la deuxième Capsule Carrière 2018, animée par Agnès Marchand, Responsable Audencia Careers.  Quelquefois, on est tellement la tête dans le guidon qu’on n’est plus capable d’expliquer ce qu’on fait… simplement, efficacement. Et pourtant, nous n’avons jamais deux fois l’occasion de faire une première bonne impression. Retrouvons les réflexes indispensables à convaincre. Yaël Gabison, fondatrice de Smartside, cabinet conseil en leadership propose un atelier pour savoir pitcher son activité en 2 minutes chrono ! Rendez-vous le 14 juin prochain sur le campus Audencia Paris pour découvrir le Storytelling : un formidable outil de leadership ! INSCRIPTION

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    • Le 28 mai 2018

    1968 à Sup’ de Co Nantes

    A l’aube des événements de Mai, Audencia s’appelle encore Sup’ de Co Nantes. Le campus se trouve Rue Voltaire, à l’emplacement de l’actuel Musée des Beaux-Arts [En savoir + : Pose d’une plaque commémorative 31 mai 2018].  Les diplômés des promos 68 et 69 nous racontent comment ils ont traversé quelques mois un peu fous. A travers ces quelques lignes, des témoignages plus ou moins vifs des événements, certains d’entre vous retrouveront peut-être des camarades de promo perdus de vue, d’autres découvriront la vie de l’Ecole et de Nantes il y a 50 ans.  Des souvenirs livrés avec une générosité teintée d’un brin de nostalgie. Merci sincère et chaleureux à chacun des diplômés qui ont répondu spontanément à notre appel.   Michel Meilhac (GE 69) – De Mai 68 au Printemps de Prague « Encore étudiants, nous vécûmes Mai 68 en assistant aux cours avec assiduité, jusqu’à ce que la Direction décide de fermer l’école par souci de sécurité. Après négociation pour un passage en 3ème année sans examen, nous fûmes un petit groupe à partir faire retraite à La Baule jusqu’à la fin des événements. Quelques semaines plus tard, je partais pour un stage en Slovaquie, remplaçant le job que j’avais trouvé sur le Paquebot France, bloqué à quai par les événements. C’est ainsi que, devant quitter Kosice le 23 août 1968, j’en fus empêcher par l’arrivée subite des troupes russes qui mirent fin au Printemps de Prague. » Patrick Badin de Montjoie (GE 69) – Mai 68, le début de ma 2ème vie « Que d’événements vécus depuis Mai 68 et cette impression d’avoir eu plusieurs vies, sans doute une belle illustration de la nouvelle devise d’Audencia : Never stop daring. A 72 ans, je suis toujours à la tête de… mon exploitation agricole. Et oui, j’ai passé un BTS agricole à 50 ans, après 22 ans de carrière chez IBM en France et à l’international. Comme quoi Audencia mène à tout à condition d’en sortir. Mais revenons à Mai 68 ! Etudiant puis diplômé de Sup’ de Co Nantes, je décide de m’engager en parallèle dans une carrière militaire comme Officier de Réserve pour combattre le Pacte de Varsovie. Service militaire en Allemagne, concours des ORSEM, je suis finalement affecté au Commandement Opérationnel de l’Etat-Major de l’Armée de Terre à Paris de 1976 à 1990. Une vie complète, ou plusieurs vies, avec un enseignement essentiel qui est la force principale des armées : dans les coups durs, on ne laisse pas tomber un copain ! » Lysiane Vivien (GE 68) – Le diplôme malgré tout « Mai 68 est si loin pour moi qui ne me suis pas très impliquée que je n’ai pas grand-chose à vous dire. A Sup’ de Co, nous étions un peu en retrait de toute l’agitation si je compare avec l’enthousiasme de mes trois amies locataires de l’époque (médecine, lettres et droit). Mais, parmi quelques souvenirs éparses, deux me reviennent en mémoire : Une manif’, place de la petite Hollande et devant la Préfecture, avec des amis qui n’étaient pas des Sup’ de Co Un pot entre amis (de Sup’ de Co) au Conti, place Royale. Nous avons vu entrer dans le café des CRS, matraques en main, qui n’hésitaient pas à s’en servir, sans raison particulière. Certainement qu’ils savaient l’endroit systématiquement occupé par les étudiants. Nous n’avons pas passé notre examen final. Pourtant, j’étais partie avec une amie dans la maison de campagne de famille sur les bords de la Loire. Nous nous sommes rapidement trouvées isolées, sans voiture, sans téléphone, ni fixe, ni mobile bien sûr. L’essence devenait rare, avec difficultés mon père a réussi à faire un plein pour venir nous chercher et nous dire que l’examen était annulé. Un dernier souvenir me revient : celui d’être montée à Paris en voiture, toujours en pleine crise d’essence, avec un ami de mon père. En grand excès de vitesse car il n’y avait personne sur la route. Je devais passer un entretien d’embauche et cet ami allait chercher son fils HEC à Jouy en Josas bloqué sans transport sur son campus. Mon mari, Jean-Philippe Vivien (GE 68), est décédé l’an dernier. Peut-être aurait-il apporté un autre témoignage car, étant parisien, il avait quitté Nantes assez rapidement. » Claude Foulon (GE 68) –  Un obstacle à la conclusion de mes études supérieures « Pour les 3ème année et pour le provincial, non Nantais, que j’étais à l’époque avant de devenir un expatrié professionnel, Mai 68 a été l’obstacle à la conclusion de mes études supérieures par un examen qui m’aurait permis de sortir avec panache de ces trois années dédiées à l’apprentissage du commerce international. Pour nous éloigner de la fièvre révolutionnaire s’emparant de nos camarades des facultés, Laurent Falkenstein et moi-même avions décidé de nous mettre au vert pour les dernières révisions, loin des manifestations, dans la villa parentale, à St Jean de Monts. Le jour de l’examen approchant, sans télé, sans téléphone, mais écoutant la radio, notre préoccupation majeure devenait l’approvisionnement en essence : le plein qui nous permettrait de rentrer à Nantes le jour J. Nos révisions ne s’arrêtaient que pour écouter le dernier flash RTL ou France Inter…Nous avions l’impression de passer à côté de quelque chose d’historique, une gigantesque foire qui avait l’air de tourner mal. Notre âme de jeunes bourgeois des campagnes ne nous permettait d’aller au-delà de la sympathie pour les étudiants maltraités par de terrifiants agents de police et CRS… Loin de nous l’idée d’aller les rejoindre. Notre volonté était à ce stade d’en terminer avec nos études pour entrer dans le vrai monde : de l’industrie pour Laurent et du commerce international pour moi… Le jour de l’examen arriva. Nous avons regagné Nantes avec l’intention d’en découdre avec l’épreuve sanctionnant trois années de travail sérieux, intense, engagé… Nous ne sommes pas allés plus loin que la grille fermée de l’école, rue Voltaire. Le portier nous apprit que l’examen était supprimé, l’école fermée, et que nous aurions notre diplôme de fin d’étude sur la base de la moyenne des notes des 3 années. Cette expérience très personnelle montre à quel point la perception de Mai 68 peut varier selon que l’on est Parisien, Nantais ou d’ailleurs. Mai 68 n’a pas eu d’impact sur nos carrières. Nous allions tous trouver rapidement notre voie. Je me retrouvais pour ma part, quelques mois plus tard, en Allemagne, dans l’armée d’occupation avant de pouvoir œuvrer pour le développement du commerce extérieur de la France au sein des services commerciaux français du Consulat Général de France à Francfort. » Bernard DELIGNY (GE 69) – Au cœur des négociations « En tant que Vice-Président de la FNEF, j’étais à l’époque au cœur des débats à Sup’ de Co Nantes. J’ai participé aux négociations avec Henri Touchard, le Directeur de l’Ecole, et son Secrétaire Général, Monsieur Cerisier. Notre objectif : le passage en 3ème année sans exam, compte tenu des événements. Nous l’avons obtenu. »   Depuis notre entrée à l’Ecole, reçus par le Directeur de Sup’ de Co, Monsieur Henri Touchard, nous recevions le message, relayé par le corps professoral, que nous étions les futurs cadres dirigeants des entreprises. Difficile d’emboiter le pas de ceux qui prônaient la fin de la hiérarchie, la disparition des élites, l’éradication de la propriété !  Nous étions très peu nombreux à adhérer à un syndicat d’étudiants ; quelques-uns s’étaient égarés à l’UNEF, d’autres à la FNEF. Les seules manifestations « syndicalisées » avaient pour cadre les élections de MNEF avec des affichages près de la Corpo. Pour ma part, j’avais adhéré à la FNEF dès la première année, présenté par Bernard Huet (Promo 68) et en était un des Vice-Présidents locaux. Le début du mois était particulièrement agité avec des défilés ouvriers permanents, les drapeaux rouges sur les toits de Brissonneau route Paris et ses piquets de grève. Petit à petit le mouvement prenait de l’importance, les grèves avec occupation se multipliaient, les défilés n’en finissaient plus.   L’Ecole de la rue Voltaire était épargnée, loin des campus universitaires nantais. Mais l’agitation pointait, principalement orchestrée par Gaël de La Porte du Theil (Promo 67) membre de l’UNEF. Déjà barbu, fan du Che, il provoquait une AG pour décider du blocage illimité de Sup’ de Co. Cette AG devait se tenir, si mes souvenirs sont exacts, le mardi 14 mai, dans l’amphithéâtre, au cœur du bâtiment qui nous accueillait. L’affluence était plutôt faible et l’ambiance bon enfant. Les revendications n’étaient pas nombreuses, se limitant à quelques aménagements nouveaux, et à un contrôle continu des connaissances, ce qui, disons-le, en auraient gêné plus d’un ! Gaël me proposa, en fin stratège, de présider l’AG. Je n’avais pas vu le piège qu’il m’avait tendu. Alors que je voulais prendre la parole, il me remit à ma place en me rappelant que le devoir d’un président d’AG était de respecter les débats et de ne pas y prendre part. Après son plaidoyer, fortement ancré « gauchiste », la majorité de l’Assemblée se prononçait pour une grève illimitée. Ceci me paraissait tellement en décalage avec ce que nous représentions et ce que nous serions par la suite, diplôme en poche, qu’il fallait intervenir. Je déclarais, en tant que Président de séance, que l’assemblée était trop faiblement représentative et qu’il fallait renouveler le vote le lendemain avec tous les étudiants de l’école ou pour le moins une forte présence. La nuit fut longue pour convaincre les absents de venir à l’AG, pour retourner les hésitants de la veille. C’était une véritable opération « commando ».   Le mercredi 15, nouvelle AG, avec cette fois, un ampli plein à craquer, débordant sur le parvis. En début de séance, je proposais immédiatement à Gaël de prendre, en réciprocité, la présidence de l’AG. Fort de son succès de la veille, il accepta. Je pris donc la parole en exhortant les étudiants présents de voter pour la poursuite des cours et la tenue des examens. Par une majorité écrasante, la motion était acceptée. Lorsque Gaël voulut prendre la parole, je lui rappelais ses propos de la veille et l’affaire fut entendue. Gaël, trop seul de l’UNEF, ne faisait plus audience.   Cette étape passée, il fallait négocier avec la Direction de l’Ecole ! Détail amusant, les débats étaient suivis en direct par le Secrétaire Général, Monsieur Cerisier, tapis sous les gradins en bois de l’amphithéâtre. On y accédait par une petite porte située au fond du couloir qui longeait la corpo. Il était au courant de tout, du rôle de chacun, des débats, des interventions. Une délégation des élèves avec le Président de la Corpo, moi-même et quelques autres, nous rencontrâmes la Direction au complet : Messieurs Touchard et Cerisier, un ou deux professeurs dont Monsieur Borne. Fort du mandat que nous avions reçu, nous demandions la poursuite des cours et surtout le maintien des examens. A la première question, il nous fut opposé l’impossibilité matérielle d’organiser les cours, l’école se situant proche des lieux de manifestations avec tous les risques de débordements ou d’infiltration d’éléments étrangers. L’école serait fermée jusqu’à nouvel ordre. La seconde question les mettait fort dans l’embarras ; comptant sur une évolution rapide et favorable du conflit, ils pensaient pouvoir maintenir les sessions de juin. Par contre, la gravité des affrontements du moment les incitait à la prudence. Nous restions fermes sur ce point, demandant l’arbitrage du Recteur de l’Académie et proposant la mise en place de protections policières auprès des salles d’examens qui pouvaient être délocalisées. Notre zèle étonnait ; il était totalement dissonant avec le reste du monde étudiant ! D’autres Ecoles de Commerce avaient suivis les chemins de l’affrontement, nous avions choisi celui de la négociation !   L’Ecole fermée, nous avons décidé à quelques-uns de « prendre du recul » à La Baule, dans la villa familiale de François Degueldre. Il y avait Michel Meilhac, Jean Pierre Fourcat, Joël Viallard, Alain Mitaux-Maurouard, Patrice Tréquesser, Cyril Duval, et moi-même tous de la promo 69. Nous avons caché les voitures un peu trop voyantes et laissé à la vue les 2 CV de François et Michel. Cyril nous quittait pour rejoindre Paris, Patrice repartant sur Rennes. Il n’y avait plus d’essence, pas de téléphone. Nous avions avec nous un trésor de guerre : les boissons prévues pour le cocktail de lancement de la plaquette de Jeune Commerce ! L’épicerie au pied de la villa avait un bon stock ! Pour l’essence, nous usions d’un stratagème : les 2 CV partaient vers les rares stations occupées par des grévistes de la CGT qui délivraient les bons d’essence. Après quelques palabres, prétextant un AG importante sur Nantes, nous avions les fameux bons ! On répétait l’opération régulièrement, remplissant une vieille cuve à mazout vide avec l’essence siphonnée dans les réservoirs des 2 CV ! Nous sommes restés à La Baule jusqu’au 28 mai, sous un soleil radieux. L’essence transvasée dans des bidons, rangés dans les coffres de nos voitures, nous rejoignions nos villes respectives, dans l’attente de décisions concernant les examens : reportés en septembre ou annulés ?   Le mercredi 29 mai, j’avais rejoint Le Mans avec Michel Meilhac. Il continuait vers Paris pour participer à la manifestation du 31 mai. Le 30 mai, je recevais un appel téléphonique de Monsieur Touchard qui nous annonçait que les examens avaient été annulés et qu’il avait pris la décision avec le Recteur de l’Académie et le Ministère de l’Education Nationale, d’accorder à tous les élèves de Sup de Co Nantes, le passage dans l’année supérieure pour les 1ère et 2ème années et le diplôme pour les 3ème années. Une seule exception pour un d’entre nous qui se voyait refuser le passage en 3ème année. Je tairai son nom, peut-être se reconnaitra-t-il ! J’entamais avec Monsieur Touchard, une longue conversation au téléphone pour négocier la levée de cette mesure. Ne pouvant faire une exception pour un élève, la cause fut entendue.   Michel Meilhac rentré en stop de Paris me retrouvait au Mans le samedi 1er juin. Il me tardait de rejoindre Narbonne où m’attendait celle qui deviendrait mon épouse deux ans plus tard. Nous avons pris la route de nuit, contournant les barrages, évitant les manifestations, nos bidons d’essence dans le coffre et nous sommes arrivés, en fin de cortège du Parti communiste, sous les yeux étonnés de ma future femme et de sa mère. S’en suivirent une quinzaine merveilleuse, seuls sur une plage du midi, nous ravitaillant en Espagne ou en Andorre en attendant le début de notre stage de 2ème année, en Tchécoslovaquie pour Michel et à Ljubljana pour moi. »

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    • Le 24 mai 2018

    The mag #2 est sorti, découvrez le nouveau magazine des diplômés d'Audencia !

    Chers Diplômés et Amis, Début mars, nous avons lancé « the mag, le magazine digital Audencia Alumni ». Vous avez été très nombreux à le lire et à réagir. Nous avons essayé de retenir vos suggestions d’amélioration et avons particulièrement apprécié vos nombreux commentaires positifs et messages de soutien. Nous vous remercions chaleureusement d’avoir pris le temps de partager votre avis. Nous sommes heureux de vous présenter aujourd’hui the mag #2. La rubrique thématique s’intitule « RévolutionS ». Au-delà des événements de mai, 1968 fut une année riche en ruptures, en événements forts qui ont durablement marqué les esprits, les modes de consommation, les conceptions sociétales. Plus qu’une rubrique commémorative, nous avons souhaité voir, à travers le regard d’étudiants et diplômés d’Audencia, comment se déclinaient les révolutions d’aujourd’hui, plus comportementales et technologiques que politiques. Pour les curieux d’Histoire(s), nous sommes aussi partis à la rencontre des promos 68 et 69. Une belle occasion de découvrir Audencia, alias Sup’ de Co Nantes, à travers les souvenirs qu’ils nous ont généreusement livrés. Nous leur adressons d’ailleurs un immense merci. Et bien sûr, vous trouverez des nouvelles du réseau (Network Life), de l’Ecole (Campus Life), notamment la nomination de Christophe Germain comme Directeur Général, et bien d’autres sujets d’inspiration. The mag est à vous ! Nous vous invitons à participer à sa conception (devenez rédacteur), à sa diffusion en le relayant autour de vous, ou à son amélioration (adressez vos commentaires).   Toute l’équipe de rédaction, composée de diplômés et de membres du staff d’Audencia, se joint à moi pour vous en souhaiter une très bonne lecture. Bien à vous,   Florence Alix-Gravellier, Responsable du Pôle Alumni

    • Business
    • Le 22 mai 2018

    SYSTOVI, une entreprise Green-Tech innovante

      « Par nos innovations, nous apportons la liberté énergétique et le confort de l’habitat », explique Marion LAGADEC GERARD, Responsable marketing et communication, à la dizaine d’Alumni privilégiés visitant l’entreprise Systovi ce 17 mai à Saint-Herblain (44). A l’initiative de Michael Thoby (exec MBA 13), le chapter Nantes leur a permis de mieux connaître cette société créatrice de solutions multi-énergies innovantes dédiées à l’habitat, récompensée par le Grand Prix de l’efficacité énergétique de BATIMAT.   Créée en 2008 par Pascal Janot et Mohammed Benabdelkarim, Systovi a connu une forte croissance dans le photovoltaïque en 2009-2010 avant d’inventer, en 2012, la technologie aérovoltaïque. Un système qui ne se contente pas de vous fournir de l’électricité mais vous permet également de diminuer votre facture de chauffage ! Ce qui anime les fondateurs ? Le souci de l’utilisateur. C’est ainsi qu’ils lancent en 2016 Smart-R, une application mobile qui vous permet de suivre très simplement les performances de votre installation solaire et de la piloter à distance. Cette même année 2016 a vu le lancement d’une exclusivité mondiale : Stock-R, une batterie qui stocke chez vous la chaleur solaire. En 2018, Systovi développe une nouvelle version de sa solution aérovoltaique R-VOLT, plus compacte, pour s’intégrer dans toutes les maisons.   Lors de cette visite, les Alumni ont eu le privilège de découvrir les chaînes de production et de comprendre le processus de fabrication d’un panneau solaire. Un moment très instructif suivi d’un apéritif pour prolonger les échanges.   En savoir plus : www.systovi.com        

    • Keep In Touch
    • Le 14 mai 2018

    Conférence-débat avec Nadia Medjad (16 mai - Paris)

    Ingénieurs-managers, juristes d’affaires, médecins-logisticiens… l’hybridation des compétences, des modes de pensée et des organisations est au cœur de la vie sociale et économique actuelle. Plus que jamais, Audencia et ses partenaires de l’Alliance (Centrale et ENSA Nantes) partagent une conviction forte : c’est au cœur des interfaces et des confluences que s’élaborent les projets porteurs de valeur et d’innovation. Forte de cette conviction, l’Alliance, accompagnée d’un collectif de 72 personnes, a souhaité approfondir ce que l’on entend par hybridation pour anticiper les contenus et modalités d’enseignement de demain. Dans le prolongement du Cahier publié le mois dernier (« Hybridation des compétences : processus clé pour inventer demain ? »), les acteurs du Cercle de la Prospective RH vous donnent rendez-vous le 16 mai à Paris, autour de Françoise Marcus, Directrice des Relations Entreprises et Diplômés, d’Audencia, pour approfondir ces questions. Le docteur Nadia Medjad, médecin, spécialiste des neurosciences et co-auteur du livre « Neuro-learning : les neurosciences au service de la formation », interviendra au cours d’une conférence-débat, intitulée L’hybridation peut-elle nous aider à créer une société de la confiance ? Au quotidien, Nadia Medjad aide les dirigeants à décoderle fonctionnement du cerveau grâce aux dernières découvertes en neurosciences pour développer la performance au travail et faciliter la vie en équipe. Pour nous, elle tentera de répondre à 4 questions-clés : Qu’est-ce que l’hybridation ? Que serait une société sans confiance ? Qu’est-ce que les neurosciences nous apprennent sur les leviers de la confiance ? Comment agir aujourd’hui pour construire un futur souhaitable ?   Pour vous inscrire à la conférence-débat du 16 mai à Paris, cliquez ici

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    • Le 11 mai 2018

    Les Petits Lu doublement récompensés !

    Un grand bravo aux Petits Lu d'Audencia SciencesCom doublement récompensés lors de la remise des prix du Défi L'Express : sur le podium avec la médaille de bronze, ils remportent également le Prix du digital !   En savoir + sur le Défi L'Express

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    • Le 9 mai 2018

    Le parcours et le ressenti de Geoffroy, étudiant au MS MASC

    Une formation complète et enrichissante : le témoignage de Geoffroy sur le MS Management Global des Achats et de la Supply Chain !   Quel a été votre parcours avant d’intégrer le MS MASC d’Audencia Business School ? Avant d’intégrer Audencia, j’ai effectué un Bachelor en Supply Chain Management à l’ESLI (Ecole Supérieure de Logistique Industrielle). Il s’agissait d’un contrat professionnel durant lequel je travaillais au sein du groupe Lactalis.   Vous aviez déjà trouvé votre stage avant d'intégrer l'école, pouvez-vous nous en dire un peu plus?  Ma recherche de stage est typiquement différente de la plupart des autres étudiants. En effet, j’avais déjà trouvé mon contrat d’alternance avant d’intégrer l’école. Cela est dû au fait que j’étais déjà alternant au sein du groupe Lactalis lors de ma précédente formation. À la fin de mon contrat, souhaitant continuer mes études, j’ai eu l’opportunité d’intégrer un nouveau service , toujours chez Lactalis, sous la forme d’un contrat de professionnalisation. Après quelques entretiens avec les ressources humaines et les managers, j’ai donc eu une nouvelle mission d’un an au service « Corporate Supply Chain », et plus précisément dans le pôle transport. Ma  nouvelle mission est d’apporter un support aux filiales, en leur proposant des études et un accompagnement afin de répandre les bonnes pratiques et optimiser la logistique déjà en place, notamment grâce à des outils de simulation auxquels les filiales n’ont pas forcément accès.   Pourquoi avoir choisi cette formation ? J’ai choisi cette formation pour plusieurs raisons : - La double compétence Achats & Supply Chain au sein du mastère. Ayant déjà un profil « Supply Chain », je souhaitais développer des compétences en achats. Même si cette thématique est moins présente dans mon travail que la thématique Supply Chain, cela présente un intérêt pour tout ce qui est de la relation fournisseurs, notamment lors des appels d’offres transporteurs. - La recommandation de la part d’anciens étudiants : connaissant quelques personnes ayant fait ce parcours, mon choix a été conforté suite à leurs témoignages, leurs expériences ainsi que leurs évolutions relatives à la formation.  - Le format de scolarité en alternance :  après avoir déjà effectué deux années en alternance avant d’intégrer ce MS, l’alternance était pour moi une évidence. Cela représente, selon moi, un vrai plus en matière d’expérience professionnelle, d’apprentissage et de maturité notamment dans la construction d’un projet professionnel. - La relation entre Audencia et le groupe Lactalis : étant déjà en contrat avec Lactalis avant d’intégrer Audencia, les relations entre mon entreprise et l’école m’ont naturellement poussé vers ce choix. - La ville de Nantes : étant de base perplexe quant au choix de l’école, je suis d’origine Nantaise et l’argument géographique fut décisif pour intégrer cette école.     En une phrase, votre ressenti sur le MS MASC ? Une formation complète et enrichissante, notamment grâce à la diversité des parcours des étudiants ainsi qu’à l’enseignement d’intervenants de qualité.   Si vous souhaitez contacter Geoffroy pour des questions liées à ce MS, envoyez-nous un email et on vous mettra en contact.   Envie d'en savoir plus sur le MS Management Global des Achats et de la Supply Chain? C'est ici.

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    • Le 7 mai 2018

    Class Gift : les 4 projets finalistes

    Créé il y a deux ans, le fonds Class Gift permet le financement de projets d’étudiants, grâce aux dons de la promotion sortante. En octobre dernier, la Fondation Audencia a collecté 4770€, grâce à la promotion GE17, au soutien du personnel d’Audencia et d’EY.   Suite à l’appel à projets lancé à la fin du mois de mars, afin de remettre le fonds, 31 projets ont été soumis : rénovation d’écoles au Pérou, week-end Semi-Vin, plateforme pour la redistribution des restes alimentaires, Model United Nations, création et distribution de repas adaptés pour les personnes opérées à l’estomac, application pour faciliter l’accès aux modes d’emploi en ligne, etc.   Les candidats au fonds Class Gift devaient ensuite présenter leur projet devant un jury, le 26 avril dernier. Au terme de cette journée, 4 projets ont été retenus :   Surf Ouest Park -  le projet d’Enzo Bodereau, étudiant PGE : un complexe dédié à la pratique du surf autour d'un bassin générateur de vagues artificielles   Antiopea - le projet de Théau Jubin, étudiant PGE : une offre de services (formations et accompagnement) et produits (logiciels Saas) traitant de la sécurisation et certification du transfert d’informations et documents en entreprise   Solifood - le projet de Sixtine Labusquière, étudiante en PGE, et de l’association Enactus : permettre l’intégration des réfugiés par le travail en proposant des repas typiques de leur pays cuisinés par eux-mêmes (en partenariat avec l’association “le Goût des autres”) aux étudiants d’Audencia   Impul’S tour - le projet de Nicolas Gumy, étudiant Bachelor : le 1er tour d’Europe des initiatives durables en voiture zéro émission, qui donne à chacun les clés de la transition écologique.   Les donateurs voteront ensuite du 4 au 17 mai pour élire leur(s) projet(s) préférés.   Bravo aux finalistes et rendez-vous le 22 mai pour les résultats !  

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    • Le 2 mai 2018

    Meet & Learn à Genève le 30 mai "Transformation numérique : vers une organisation data-driven"

    Les nouvelles conférences “Meet&Learn” organisées par Audencia Business School et Grenoble Ecole de Management proposent des évènements de networking et de partage de connaissances, dans une ambiance décontractée propice aux échanges. Cette Première Edition en partenariat avec Colombus Consulting, propose d’aborder la transformation des organisations par l’analyse et la compréhension des données, thème d’actualité avec l’arrivée du GDPR et la volonté croissante de mieux connaître ses clients pour construire des opportunités business. Jean Meneveau et Fanny Renaud seront les guest speakers à cette première conférence “Meet & Learn”.   Jean a travaillé en tant que consultant et directeur durant plus de 15 ans dans des cabinets comme Accenture et Cap Gemini, dans les domaines Marketing Clients et Digital. Il a fait partie de l’équipe fondatrice du groupe Simalaya en Suisse et en Europe, et a rejoint en 2016 le groupe Colombus Consulting. Fanny est diplômée d'Audencia (GE 08) et est une Global Marketing Leader, Beauté, FMCG et horlogerie. Elle viendra exposer un cas sur l’univers de la beauté où l’optimisation des données et la connaissance du parcours consommateur a permis une meilleure gestion des médias et une augmentation des ventes en e-commerce.   Les alumni d'Audencia et GEM et leurs invités sont invités à rejoindre la conférence "Meet & Learn” s'inscrire ici!   Mercredi 30 mai 18:30 – 21:00 Hotel NOVOTEL centre Rue de Zurich 19, 1201 GENEVE  

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    • Le 24 avril 2018

    Christophe Germain, nouveau Directeur Général d’Audencia Business School

    Afin de poursuivre son évolution – suite à une transition qui a permis le rassemblement de ses activités sous une marque commune et le passage au statut EESC –, Audencia renforce aujourd’hui sa politique de développement en France comme à l’international, une mission confiée à Christophe Germain qui devient Directeur Général de l’institution. Cette décision sera entérinée lors du prochain Conseil d’Administration.   « Après ses succès dans le développement de notre école SABS (Shenzhen Audencia Business School) en Chine comme dans son poste de Directeur Général Adjoint depuis 10 ans, confier les pleins pouvoirs à Christophe Germain pour accompagner l’école dans ses prochaines échéances est une évidence, ne serait-ce que par sa connaissance fine du milieu de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, dont l’écosystème complexe et les codes sont spécifiques. Il bénéficie d’une forte légitimité à la fois sur le plan académique et sur le plan pédagogique, en France et à l’international tant en interne qu’en externe, » affirme Laurent Métral, Président d’Audencia.   Diplômé d’un Doctorat (Université Bordeaux IV) et de l’IHEE (Institut des Hautes Etudes de l’Entreprise), Christophe Germain a occupé différentes fonctions au sein d’Audencia (Directeur adjoint du Programme Grande Ecole, Directeur Académique, Directeur Général Adjoint, Directeur Général de SABS).   « C’est avec enthousiasme que je prends mes fonctions, soutenu par l’ambition de l’ensemble des collaborateurs de l’école de porter Audencia vers l’atteinte des objectifs que nous nous sommes fixés dans le cadre du plan stratégique 2020 » explique Christophe Germain. Christophe Germain est déjà bien connu de nombreux diplômés mais nous lui donnerons l’occasion de sa première prise de parole auprès des Alumni dans les colonnes du 2ème numéro de the mag, le nouveau magazine digital des diplômés, à paraître le 24 mai prochain. Une belle occasion d’expliciter sa vision stratégique pour faire rayonner Audencia et son réseau de diplômés Audencia Alumni.

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    • Le 12 avril 2018

    Candidatez pour le prix Start-up en Scène !

    La 3ème édition du "Prix Start-Up en Scène !" organisée par le Club Culture & Management, pour promouvoir l’innovation et l’entrepreneuriat dans le secteur culturel, aura lieu le 13 juin 2018 dans un lieu emblématique en plein cœur de Paris, en présence de plus de 150 décideurs du milieu de la culture. A cette occasion, des jeunes pousses de l’entrepreneuriat culturel seront sélectionnées par un jury prestigieux pour recevoir l’un des cinq prix "Start-up en Scène !" : Musique, Edition & Presse, Spectacle Vivant, Beaux-arts & Patrimoine, Cinéma & audiovisuel. Les lauréats bénéficieront d’une visibilité exceptionnelle auprès des professionnels du secteur et d’une très belle couverture médiatique. Ils se verront également offrir une période d’incubation au sein de Creatis et accès à Pitchy, pour la réalisation d’une vidéo professionnelle personnalisée. Une nouveauté cette année : Audencia soutient le lancement d’un Prix « Coup de Cœur », pour récompenser une start- up fondée ou dirigée par un membre diplômé d’une des 7 écoles associées au sein du Club Culture & Management : Audencia, ESCP, EM Lyon, ESSEC, HEC, Insead et Sciences Po Paris. Le lauréat sera désigné à l’issue d’un vote en ligne, permettant de renforcer la visibilité des projets. A gagner : un week-end pour deux personnes au Festival Photo de La Gacilly (56), avec hébergement et accès au spa Yves Rocher. Pour en savoir + sur le "Prix Start-up en Scène !", les critères de sélection et télécharger le dossier de candidature, créez votre compte sur Together  puis rejoignez le Club Culture & Management Audencia. Tout y est expliqué en détail. Vous pouvez en outre bénéficier des conseils d’autres diplômés.     Candidatez pour le "Prix Start-Up en Scène !" Date limite : 29 avril 2018

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    • Le 9 avril 2018

    Anastasia Haubtmann (Audencia SciencesCom 14)

    Diplômée 2014, Anastasia est aujourd'hui Directrice Client pour l'agence de publicité Braaxe.   Mon parcours J’ai trouvé mon premier emploi au sein de l’agence de publicité Braaxe, quelques semaines après l’obtention de mon diplôme. J’y ai débuté en tant que Social Media Manager, poste que j’ai occupé pendant plus d’un an avant d’être promue Directrice du pôle Social Media, conjointement avec une collègue. Nous nous partagions la responsabilité de nos comptes clients à l’agence et encadrions une équipe de Social Media Manager d’environ 8 personnes. Depuis quelques mois, j’occupe le poste de Directrice Client. Aujourd’hui je supervise donc l’ensemble du suivi sur tous nos clients actifs. Je m’assure de leur satisfaction tout au long de notre collaboration, j’encadre les équipes intégrées à l’agence (une trentaine de personnes : créatifs, concepteurs-rédacteurs, chefs de projet…) et je réalise des points de suivi réguliers avec les clients) via divers outils que nous avons développés en interne. Audencia SciencesCom Après une licence en Sciences Politique à l’Université Paris X Nanterre, j’ai effectué mon cycle master à Audencia SciencesCom car je souhaitais un parcours très professionnalisant avec de longues périodes de stage. Il existe de nombreux métiers possibles dans le domaine de la communication et c’est parfois difficile d’affiner son projet. Audencia SciencesCom, c’est une équipe pédagogique très présente, qui nous encadre au mieux pour trouver notre voie professionnelle. L’intervention régulière de professionnels de la communication permet également de nous imprégner des problématiques concrètes auxquelles font face les agences ou les annonceurs. L’ensemble des projets réalisés à l’école sont un atout important lors de notre recherche d’emploi : le travail réalisé sur une micro-agence est aussi enrichissant qu’une expérience professionnelle. Je garde le souvenir de deux années où j’ai vraiment réussi à mûrir mon projet, en accord avec mes motivations profondes et mes valeurs. Je repense aussi souvent au long travail de mémoire que nous devons rendre en 3ème année (Bac+5), qui m’avait passionnée ! A côté des cours, je retiens aussi la découverte de la ville de Nantes, pour laquelle j’ai eu un vrai coup de cœur et où je ne désespère pas de revenir vivre tôt ou tard. Le réseau Alumni Depuis quelques mois, j’ai le réflexe de consulter régulièrement le Job Board, sur lequel je poste les offres de stage et d’emploi disponibles chez Braaxe. En relation avec le service des relations diplômés, je suis intervenue au mois de mars auprès des étudiants de 3ème année pour présenter le dernier Cahier de tendances de Braaxe. Je suis aussi dans les groupes de diplômés sur Together et sur Facebook. C’est important de pouvoir garder un lien avec l’école et les anciens étudiants, de ma promotion ou pas, car chacun peut apporter des opportunités aux autres.

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    • Le 4 avril 2018

    Write an efficient CV: join the webinar on 19th April!

    Steve Dalton's webinar on 19th April has sold out.   Too late for the live webinar on 19th April? Catch up with Audencia's webinar library!   Audencia's webinar library is a new service for Audencia students and alumni featuring world-class management thinkers like Steve Dalton, Dorie Clark and Julian Birkinshaw. The webinar library offers you an excellent opportunity to go back to the topics that you missed during the live broadcast. We are offering a limited number of free and unlimited accounts to access the webinar library. Students and alumni who are interested in advice on job-hunting and interviewing, international careers, being a better boss, to name just a few of the subjects covered, should set up an account. Don't miss this opportunity, set up your account now!   Steve Dalton's webinar will be added to the library after it has gone out live on 19th April

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    • Le 30 mars 2018

    Paroles de Diplômés par les étudiants - Interview de Sarah Le Du (GE 14)

    Quel est votre parcours d'études et professionnel ? J'ai intégré Audencia, programme grande école, en 2010. En première année, je suis tombée sur un documentaire sur le poste d'achat chez Picard qui m'a fait rêver. Je me suis renseignée sur la fonction achat et cela me correspondait beaucoup, par le côté transverse, analyse, relationnel et concret du métier. J'ai fait mon premier stage dans le nouveau département achat chez Biogaran. C'était intéressant, cependant les plans d'action se déployaient sur du très long terme ; je ne voyais donc pas l'impact de mes actions et surtout j'avais trop peu de liberté. Mon deuxième stage était chez l'Oréal en achat, j'achetais les PLV. Je gérais toute la partie opérationnelle avec les fournisseurs. C'était un stage très enrichissant et j'y ai vu l'impact de mon travail en direct. Ensuite, je suis partie 6 mois en échange en Chine, à Shanghaï. Je suis revenue pour faire ma majeure à Audencia, j'ai choisi contrôle de gestion. Les mécanismes financiers sont très liés aux achats donc j'avais envie de consolider ces bases. J'ai fait mon stage de fin d'études chez Danone, que je visais depuis longtemps pour son avance dans les achats et les valeurs de l'entreprise. J'ai fait mon stage en Capex (capital expenditure, capital dont l'entreprise dispose pour l'investissement) chez Danone Waters. Ce stage a été passionnant et très riche, nous avions beaucoup de projets d'achat. Après cela, comme il n'y avait pas de poste disponible, j'ai décidé de faire un deuxième master, un master spécialisé en achat à Centrale Paris, en continuant en alternance chez Danone. Pendant un an et demi, j'étais acheteuse packaging secondaire pour l'Europe et ça m'a beaucoup plu. De passer par Centrale Paris m'a aussi permis de me créer un réseau d'acheteurs. Mon alternance devait se transformer en CDI mais il y a eu un gel des embauches à ce moment là. Danone m'a proposé un poste à Barcelone, en achat de packaging primaire, pour toutes les marques espagnoles de Danone Waters. J'y ai été pendant deux ans et j'ai pu apprendre une nouvelle langue. A mon retour en France, j'avais envie de voir autre chose que les achats, de développer d'autres skills et d'apprendre un nouveau métier. Je suis allée en supply chain chez Danone Waters pour la France. Aujourd'hui,  je travaille au service client de Danone Eaux France. Je suis key account supply, c’est-à-dire que je suis responsable d’un compte national pour tous les sujets logistiques. Je suis de l'autre côté de la chaîne, auprès des clients, ce n'est pas du tout la même approche et ça me plaît beaucoup.   Qu'est ce qui vous plaît dans votre travail ? L’impression d’être sur un terrain vierge, dans un département et une fonction relativement récente, pour lesquels il y a beaucoup de choses à construire. J’ai l’impression qu’il peut y avoir un avant moi et un après, c'est très motivant et valorisant ! Quelles sont les difficultés que vous avez pu rencontrer ? Au début de ma carrière, j'étais très timide. J'ai appris à m'imposer plus, à donner mes idées face à des personnes très expérimentées, à donner mon avis. Tout cela fait partie de la culture de Danone, j'y ai donc été encouragée. Jusqu'à aujourd'hui, je n'avais travaillé qu'avec des équipes composées uniquement de cadres. Mon équipe est beaucoup pus variée et les ambitions et envies sont donc très différentes. Mon challenge sera de faire adopter au reste de l’équipe les nouveaux process que je mets en place.   Quel conseil donneriez-vous à un étudiant désirant s'orienter dans l'achat et supply chain ? Je conseillerai de faire plusieurs stages sur les différents métiers de la supply. Et de bien choisir les entreprises où faire ces stages, s’assurer que la supply chain ou les achats y sont bien valorisés car de là en découleront l’intérêt des missions. Propos receuillis par Aloïse Mas-Mézéran, étudiante à Audencia Business School 

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    • Le 26 mars 2018

    #CLASSGIFT : Infomeless, le projet étudiant soutenu par le fonds Class Gift, a bien grandi

    Souvenez-vous d’Infomeless… Victoria Mandefield, étudiante du Master of Science Management – Ingénierie à Audencia, avait pour ambition d’aider les personnes en situation de grande précarité, en leur offrant l’accès à toutes les informations dont elles ont besoin, via des solutions numériques. C’est cette idée, à fort impact social, qui avait tout naturellement séduit notre promotion 2016 de diplômés-donateurs, pour la première édition du Class Gift. Ainsi, Victoria remportait en mai dernier le premier prix Class Gift de la Fondation Audencia, pour son projet Infomeless. Retour sur ce projet et son évolution En juin 2017, Victoria recevait 2 090 € afin de développer Infomeless, renommé Soliguide depuis. La première étape a été la refonte totale du site internet, au cours de l’été dernier, grâce au soutien financier du Class Gift et à un ergonome de talent. En septembre dernier, Victoria a choisi la spécialisation Dirigeants et Entrepreneurs à Audencia Business School. En collaboration avec d’autres étudiants du pôle entrepreneuriat, elle a développé le site internet pour la région de Nantes, en y cartographiant toute l’action sociale locale. Les cours de ce parcours lui ont également permis de restructurer son projet et d’entrer en pré-incubation à Paris Pionnières (un incubateur spécialisé dans l’entreprenariat au féminin). « Aujourd’hui, la plateforme est utilisée par les associations afin d’orienter efficacement leurs bénéficiaires. Mais demain, nous voulons aller plus loin en donnant directement l’information aux personnes à la rue. C’est pourquoi nous lançons une campagne de crowdfunding à partir du 12 mars 2018, afin de récolter les fonds nécessaires à l’installation d’une borne interactive, qui sera installée dans la rue ! » nous raconte Victoria.  Mais elle ne s’arrête pas là. Elle nous explique : « L’impact de Soliguide est fort pour ses bénéficiaires : il permet d’un côté d’améliorer les conditions de vie au jour le jour des personnes à la rue ou réfugiées, mais aussi de faciliter leur réinsertion. Il reste un problème majeur à régler : nous cartographions tous les lieux utiles… sauf l’hébergement d’urgence qui reste la prérogative du 115. Or, cet hébergement est aujourd’hui complétement saturé dans les grandes villes françaises. » Un problème que Victoria souhaite résoudre grâce à un deuxième projet Merci pour l’invit’. Elle nous explique : « Nous entamons depuis janvier un nouveau projet dont l’objectif est d’héberger des personnes en difficulté directement chez des particuliers. Nous hébergeons ainsi 8 bénéficiaires à ce jour chez diverses personnes. » Avec Soliguide et Merci pour l’invit’, c’est maintenant deux projets dont Victoria s’occupe en plus de ses études. Ces deux projets sont encadrés par l’association Solinum (cf. Solidarité Numérique) et ne seront certainement pas les seuls projets de cette association : « Dans le futur, je souhaite développer de nombreux autres projets comme ceux-ci, qui combinent numérique et social, pour mieux aider les personnes qui en ont besoin », ajoute Victoria. C’est donc une étudiante pleine d’ambition et à l’initiative de projets innovants que nous continuerons bien entendu de suivre dans les prochains mois et les prochaines années ! Le #ClassGift, créé par les étudiants, pour les étudiants Soliguide est la preuve que les projets de nos étudiants méritent le soutien de leur école, c’est pourquoi la Fondation Audencia tient tout particulièrement à les encourager. Le Class Gift permet le financement de projets d’étudiants ambitieux, grâce aux dons de la promotion sortante de diplômés. La collecte auprès de la promotion 2017 a permis de reverser 4 770 € à la Fondation Audencia. L’appel à projet est donc lancé, pour élire le ou les projets qui succèderont à Soliguide, et qui auront la chance d’obtenir un financement à travers la campagne Class Gift. Alors, qui sera/seront le(s) gagnant(s) de la deuxième édition du Class Gift ? Rendez-vous en mai prochain !   Pour participer au Class Gift, c’est par ici et pour soutenir Victoria dans ses projets, par là.  

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