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    • Le 10 août 2015

    Un bon réseau est à la fois professionnel et amical

    Nom: Gael Guy Fonction actuelle: Acheteur maintenance groupe, Lactalis Diplôme Audencia:  GE 07 Nationalité: Française Gael Guy nous raconte son expérience Decouvrez son portrait ici 

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    • Le 10 août 2015

    En charge du développement au sein du premier groupe laitier mondial

    Nom: Nicolas De Kermel Fonction actuelle: Responsable du développement des organisations, Lactalis Diplôme Audencia:  GE 02 Nationalité: Française  Résidence: France Nicolas De Kermel nous raconte son expérience Decouvrez son portrait ici 

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    • Le 10 août 2015

    Il faut être rigoureux dans tout ce qu'on fait tout en réalisant beaucoup de tâches

    Nom: Régis Hardouin Finez Fonction actuelle: Directeur associé, Le Vin Partagé Diplôme Audencia: GE 02 Nationalité: Française Regis Hardouin nous raconte son expérience Decouvrez son portrait ici 

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    • Le 10 août 2015

    La Maison des Jonglages repère les besoins, les qualités et les aspirations des jongleurs

    Nom: Thomas Renaud Fonction actuelle: Directeur, Maison des Jonglages Diplôme Audencia:  GE 12 Nationalité: Française Thomas Renaud nous raconte son expérience Decouvrez son portrait ici 

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    • Le 10 août 2015

    Développer les audiences, l'engagement et la monétisation en lien avec les consommateurs

    Nom: Yvan Boudillet Fonction actuelle: Directeur Stratégies Consommateurs Diplôme Audencia:  GE 03 Nationalité: Française Résidence: France  Yvan Boudillet nous raconte son expérience Decouvrez son portrait ici 

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    • Le 10 août 2015

    Développer ses connaissances et son réseau est insdispensable pour pouvoir se développer soi-même

    Nom: Euxane Allenet De Donceel Fonction actuelle: Administratrice de production Diplôme Audencia:  GE 05 Nationalité: Française Euxane Allenet De Donceel nous raconte son expérience Decouvrez son portrait ici 

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    • Le 6 juillet 2015

    Le réseau est extrêmement important dans une carrière professionnelle

    Nom: Floriane Brisabois Fonction actuelle: Development Director POA / Group Communications Director, Econocom Diplôme Audencia:  GE 11 Nationalité: Française   "Le Réseau est extrêmement important dans une carrière professionnelle"   Découvrez le témoignage de Floriane Brisabois - Lauréate du Prix Marketing/Vente/Communication des Audencia Alumni Awards 2015.

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    • Le 24 juin 2015

    De l'EAC à Plus Belle la vie... un rêve qui se réalise !

    Nom: Nadia Zeddam Fonction actuelle: Actrice Diplôme Audencia: Bachelor 12 Nationalité: Française Résidence: Paris  Interview Nadia ZEDDAM 24 juin 2015   Comment faire rimer études commerciales et passion pour le théâtre et la scène ? Nadia évoque cette double casquette.   Lorsque tu es rentrée à l’EAC en 2009, savais-tu que tu irais vers un projet professionnel autour de la comédie/scène/théâtre/cinéma ? J’avais déjà ce type de projet en tête, et pourtant je n’avais jamais pris de cours de théâtre. Une envie… Je n’ai pas osé me lancer directement dans une formation art dramatique, craignant que cela ne soit trop restrictif en termes d’ouvertures professionnelles. Une école de commerce en 3 ans telle que l’EAC était la parfaite solution pour avoir un bagage pertinent m’ouvrant des portes variées.   Comment as-tu fait pour mettre un fil rouge autour de ce projet dans tes expériences de stages ? Dès mon arrivée sur Nantes, je me suis inscrite dans des cours de théâtre à l’extérieur de l’école puis, en 2ème année, j’ai suivi l’option théâtre de l’EAC. Enfin, en 3ème année, j’ai effectué mon stage de fin d’études à la Compagnie du Café-Théâtre en tant qu’assistante communication. Cette expérience  m’a permis de m’insérer dans le milieu, d’échanger avec des comédiens venus notamment de Paris, d’appréhender l’univers du one-man show. C’est à l’issue de mon cursus Eacien que j’ai réalisé un stage d’accès au Cours Florent qui m’a définitivement conforté dans mon choix de me lancer dans la scène de manière professionnelle !   Dans une précédente interview, Romuald MAUFRAS, qui s’est lancé dans une carrière de One-man show, notamment à la Compagnie du Café-Théâtre, faisait rimer compétences commerciales et présence sur scène. Qu’en penses-tu ? Je rejoins Romuald, bien sûr ! L’EAC m’a permis de gagner en maturité et en aisance orale, critères  de performance sur scène. Je pense notamment aux exercices tels que les soutenances de training vente qui nécessitent une certaine prestance orale qui n’est pas toujours innée et que l’on développe avec l’entraînement. Par ailleurs, le module Créativité de l’EAC nous met dans des situations d’improvisation qu’il est important de maîtriser tant dans l’univers commercial que dans l’univers de la scène. Un acte de vente est un acte de désir, tout comme un jeu d’acteur !   Les fervents téléspectateurs de Plus Belle la vie ont pu te voir apparaître dans quelques épisodes. Comment vis-tu le fait de jouer dans une série avec quelques pics d’audience à plus de six millions de téléspectateurs ? Ton expérience dans une série télé t’ouvre-t-elle des perspectives sur d’autres formats (cinéma, théâtre) ? Plus belle la vie est un phénomène de fou dans le monde des séries quotidiennes ! L’objectif de cette série est que les téléspectateurs s’identifient aux personnages, c’est intéressant d’incarner ce rôle. Le seul risque est d’être cataloguée, ce qui n’est pas mon souhait. Mais le fait de n’apparaître que dans quelques épisodes fait que les téléspectateurs m’oublient dès que je ne suis plus à l’écran. Je prends cette expérience comme un tremplin extraordinaire : en me regardant dans cette série, j’apprends beaucoup, notamment sur mes axes de progrès !   Quels souvenirs marquants gardes-tu de tes 3 années à l’EAC ? Dans un premier lieu, une réelle cohésion de groupe au sein de la promo. Ensuite, des mises en situations très réelles, très professionnelles. Dès la sortie du lycée, l’école nous lance des défis sur de la mise en pratique comme le phoning. C’est parfois stressant mais quelle avancée dans notre maturité !   « Aller au bout de ses rêves ». C’est cela que tu conseillerais aux étudiants de la promo 2018 qui a intégré l’EAC il y a 3 mois ? Mille fois oui ! Enfant, je montais des petits spectacles, j’étais passionnée par les grandes actrices et le cinéma en général. J’avais dans un coin de tête qu’un jour, j’accèderais à cet univers. Aujourd’hui, j’ai un pied dedans, cela à force de persévérance, de conviction et de passion !

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    • Le 23 juin 2015

    Un réseau tient si on est capable de donner

    Nom: Eric Dodin Fonction actuelle: DG Fraikin Diplome Audencia: GE 88  Nationalité: Française Résidence:     "Un réseau tient si on est capable de donner et donc de dire quelque chose. Et c'est parce qu'on donnera qu'à un moment ou un autre, on pourra frapper à la porte... et la porte s'ouvrira !" Découvrez le témoignage d'Eric Dodin - Lauréat du Prix du Dirigeant des Audencia Alumni Awards 2015.

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    • Le 30 avril 2015

    Building up a supply chain department including team set-up, workflow design and daily operations

    Name: Jacob Zhao (Chinese Name: Jian Zhao) Job: China Logistics Manager and Department Head, Burberry, China Degree earned at Audencia : Master in International Purchasing and Supply Chain Management 04 Nationality: Chinese Residence: Shanghai - China    “Audencia taught me that confidence means staying curious about new things while believing you can master them with the right mentality and way of working or studying.” Professional path Over the past 10+ years, Jacob has held positions with major global companies in China. He credits his confidence and success, in part, to his time at Audencia. Following Jacob’s graduation in 2004, L’Oréal China offered him the position of Asia Market Support Logistics Manager in a new supply chain team where he was tasked with reorganizing the demand planning workflow in all of Asia. In 2008, once things were running smoothly for L’Oréal China, Jacob moved to Hasbro – the world’s second-largest entertainment and Toy Company – to help establish their first office in China.   “As Logistics Operations Manager and China Department Head, I built everything from scratch in the supply chain department, including team set-up, workflow design and daily operations.” In 2013, with Hasbro firmly established in China, Jacob accepted a new challenge at Burberry. As China Logistics Manager and Department Head, Jacob focuses on supply chain management and is gaining new hands-on experience in all areas. “Perfecting the conversion of what I learned at Audencia to real life is my ultimate target. I will always try to extend my knowledge and experience within the industry to become a true expert.” Passions “Travel and football! Life is like football. You should always have a very clear target. Never give up.” Most memorable experience in France “How could I forget one of the most memorable times in my life: my youth, friends and professors – and even that football field in front of my dormitory?” Jacob’s time in Nantes also gave him lifelong hobbies. “I still play three hours of football every week and travel to a new country every year – good habits that I got from my time in France.” Advice to international students looking to work in France “Good French is always a must. If you believe in yourself and stick to your dream, you can do it.” Jacob knows of some Chinese students who returned from France to China to work for French companies. After several years, they had opportunities to return to France as expat staff. Staying in touch with Audencia Alumni Jacob is still in touch with some Audencia professors and his fellow Chinese classmates. “And with the UEFA Euro 2016 in France, I’ll probably have the chance to visit again. I hope to, as I had a really memorable, fantastic time at Audencia.”

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    • Le 3 avril 2015

    Avoir des qualités techniques et relationnelles pour envisager l’audit sous l’angle d’un partenariat

    Nom: Francois Blin Fonction actuelle: Associé, Deloitte Espagne Diplôme Audencia: GE 87 Nationalité: Française Résidence: Madrid - Espagne    Mon conseil "Il faut faire preuve de qualités techniques identifiables et de grandes qualités relationnelles avant d’envisager l’audit sous l’angle d’un partenariat." Mes missions  Mon expertise se situe en audit d’entreprises espagnoles, filiales de groupes étrangers, notamment français. Je travaille plus particulièrement dans les secteurs des services et de l’industrie. En tant qu’associé, je suis responsable du développement de la clientèle et je supervise également les équipes d’auditeurs. Au quotidien, mes journées se déroulent donc sur plusieurs plans. Pour la partie révision, je retrouve mes équipes sur le terrain en entreprise et j’effectue des réunions de synthèse avec nos clients. Pour tout ce qui concerne le développement, je procède à l’étude des entreprises, j’entre en contact avec elles afin de leur proposer des services en rapport avec leurs besoins. Mes compétences J’ai effectué l’ensemble de mon parcours en audit et en expertise-comptable, en France puis en Espagne. Je souhaitais en effet travailler dans les métiers de la finance et du conseil, tout en conservant la multiplicité des problématiques et des activités abordées. D’assistant à devenir associé, chaque changement de poste a demandé une modification substantielle de mes pratiques, tout en tenant compte de l’évolution de la réglementation. Cela nécessite une grande capacité d’adaptation, d’autant que ce métier ne cesse d’évoluer notamment sous l’influence de la régulation et de la supervision des pouvoirs publics (compatibilité des missions, indépendance des auditeurs, qualité et rémunération des travaux, etc.).   Zoom Audencia Careers "Vous développerez rapidement de nouvelles compétences, notamment dans le management d’équipe et la dimension commerciale."

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    • Le 27 février 2015

    Entretenir le lien avec le réseau à la fois côté diplômés et étudiants

    Nom: Wenceslas Moussa Fonction actuelle: Operational Risk Officer Diplôme Audencia: GE 12 Nationalité: Française Résidence: Luxembourg    "Le Réseau, c'est une connexion qu'on entretient à la fois côté diplômés et étudiants. Pour les étudiants, il ne faut pas hésiter à poser des questions, à approcher des diplômés... pour les diplômés, c'est davantage de proposer, donner des conseils et orienter." Portrait de Wenceslas Moussa

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    • Le 18 février 2015

    Pour bien débuter en audit, passer le DSCG, 1ère étape du diplôme d’expert comptable

    Nom: Maxime Bodin Fonction actuelle: Audit manager, PWC Diplôme Audencia: GE 07 Nationalité: Française Résidence: France  Mon conseil « Pour bien débuter en audit, je conseillerais de passer le DSCG, première étape du diplôme d’expert comptable. » Mes Missions La signature des associés de PwC France, qui sont des commissaires aux comptes, certifie que les états financiers de la société auditée sont le reflet de son activité économique. Dans ce travail d’équipe, mon rôle de manager est de comprendre le fonctionnement d’une entreprise par le biais d’entretiens avec ses interlocuteurs clés (directeurs financier et juridique, comptable, responsables opérationnels), d’identifier ses principaux risques, puis de mettre en oeuvre une approche d’audit. Mon métier allie compétences techniques, gestion de la relation client, management d’équipe et gestion de projet afin de garantir la sincérité des comptes établis par mon portefeuille de clients (entreprises multinationales, cotées ou familiales). Réunion de synthèse avec un directeur financier ou un directeur général, point d’avancement avec l’équipe, discussion avec un associé… Chaque journée de travail est très différente. Mes compétences Autonomie, organisation, anticipation, pédagogie, capacité à animer une équipe : ces qualités me permettent d’être responsable de missions impliquant un management important, d’interagir avec nos bureaux étrangers et des clients aux fonctions très diverses. Au-delà de l’obligation règlementaire, notre métier répond à un besoin de confiance et d’éthique quasi philosophique, et participe ainsi au bon fonctionnement des marchés. La relation avec nos clients est primordiale afin d’optimiser la valeur ajoutée apportée par nos audits. C’est un métier qui demande un investissement temps significatif, mais qui donne accès à un passionnant portefeuille de clients.    Zoom Audencia Careers Développez votre relationnel client ! C’est un facteur essentiel et différenciant pour fidéliser vos comptes.  

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    • Le 13 février 2015

    P-DG de la première marque de luxe chinoise

    Nom: Raphael Le Masne De Chermont  Fonction actuelle:   Diplôme Audencia: GE 87 Nationalité : Française Résidence :     Un amoureux de la vitesse. Et du risque calculé. Raphaël Le Masne de Chermont, à l’instar du pilote d’essai, est un homme qui aura toujours poussé les curseurs de son existence jusqu’à la butée pour voler haut et voler loin. Les “bang” supersoniques de sa trajectoire résonnent de plus en plus nombreux au-dessus de la baie de Hong Kong. Il n’y aura jamais eu d’atermoiement ni de doute. Ce n’est pas le genre de la maison. Mais des rencontres et une certitude ; le soleil se lève à l’est. La géographie intérieure de Raphaël Le Masne de Chermont est une projection de Mercator qui favorise les itinéraires en courses obliques. Nantes, Paris, Londres, Bruxelles, Hong Kong… Et puis le monde entier. “Je savais quand même la fin de mes études que j’allais quitter la France. C’était une certitude.” Ennui ? Curiosité et soif d’aventure, plutôt. Mais attention, cette curiosité embrasse large, elle est celle d’un touche à tout qui trouve de l’intérêt derrière chaque pierre. “Durant mon stage, j’ai fait des cartons chez Waterman, j’ai rencontré pendant cette période des gens qui faisaient ça depuis des années et qui le feraient encore des années après mon départ. Cette prise de conscience m’a imposé un constat : tu es privilégié, profites-en, mais ne te coupe jamais du terrain, reste au contact des réalités.” Il n’y dérogera pas. La fièvre du voyage est à un stade avancé, mais se cache encore derrière un dernier test. “J’ai commencé par un cabinet d’audit, mais j’ai vu très vite que ce n’était pas pour moi.” Raphaël Le Masne de Chermont est tout entier là. Pas d’idées préconçues, pas d’avis définitif avant d’avoir expérimenté. En revanche, il apprend vite et voit rapidement si les choses lui conviennent. Ou pas. Malgré une proposition du cabinet, il démissionne au bout de trois mois. Cette fois, c’est parti. Il embarque à bord de la compagnie Richemont, groupe suisse spécialisé dans l’horlogerie de luxe, qui l’envoie à Londres. Après Londres, Bruxelles. Le groupe Richemont, toujours, et des enseignes plus connues que la maison mère : Cartier et Piaget. “Le patron du groupe Cartier – puis du groupe Richemont – est un homme exceptionnel. Il a été prépondérant dans ma vie. Alain Perrin avait une manière d’être avec les gens qui était extraordinaire ; intuitif, extrêmement exigeant, il savait déplacer les foules. Je crois qu’à 25 ans, s’il avait demandé à ses cadres de se jeter d’un pont, eh bien, nous l’aurions fait.” Les rencontres. Le sel de la vie. Et un accélérateur de carrière fantastique. Raphaël Le Masne de Chermont ne l’oubliera jamais. Il est aujourd’hui l’une des têtes de pont les plus actives du réseau Audencia Nantes en Asie. Mais revenons au début des années 90. Le jeune homme progresse, vite, monte dans la hiérarchie du groupe et se voit offrir un poste de CEO dans une grande marque horlogère du groupe. Il décline poliment et propose sa candidature pour aller s’occuper de la marque Shanghai Tang, dont Richemont est actionnaire à 30 %. Nous sommes en 1994, Raphaël Le Masne de Chermont prend un aller simple pour Hong Kong. Le soleil se lève à l’est, il ne l’a pas oublié. “J’ai rapidement pris la présidence de Shanghai Tang. L’entreprise chinoise avait du mal à décoller ; nous nous sommes attelés à la tâche.” Son équipe redresse la barre en un an, la marque devient profitable – ce qu’elle ne cessera jamais d’être depuis – et le désormais Executive chairman and CEO subit l’accélération de l’Histoire en direct. Hong Kong est la ville la plus rapide – et la plus chère – du monde. Ici, nous sommes dans le domaine des possibles. Je vois plein de jeunes Français qui arrivent. Ils ont des idées, des compétences et montent des business. C’est quelque chose de très naturel.” La marque Shanghai Tang se développe, multiplie les ouvertures de magasins – malgré le casse-tête que représente l’augmentation permanente des loyers – et devient rapidement la première marque de luxe chinoise. Désormais appuyée sur un réseau de 35 boutiques que le CEO visite très régulièrement – “ne te coupe jamais du terrain” –, la marque s’internationalise et se déploie maintenant au niveau mondial. Le pilote, lui, continue de voler haut et de voir loin.

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    • Le 6 février 2015

    Se préparer à la solitude du décideur

    Nom: Eric Dodin Fonction actuelle:  Directeur général Europcar France. Diplôme Audencia: GE 88 Nationalité : Française    Au plus haut des hautes solitudes. Au-delà du clin d’oeil à l’excellent livre de Don Winslow, la réalité d’un grand dirigeant est aussi celle-là. La solitude. Organiser, dynamiser, animer, produire du sens et de la vision, oui, bien sûr... Mais aussi décider. Et décider seul. Éric Dodin est un homme d’éthique qui ne prend pas à la légère cette responsabilité ultime. Tout est question d’analyse, de conscience et de distance. Ce cocktail “pour diriger”, rehaussé d’une bonne pincée de vision stratégique et de charisme, est une alchimie subtile à atteindre. Bien dosés, ces ingrédients permettent à un dirigeant d’exercer convenablement son rôle ; à un directeur général de conduire le développement de l’entreprise dans le respect de l’intérêt général. Éric Dodin est un alchimiste. Non qu’il puisse changer le plomb en or, mais le désormais directeur général d’Europcar France semble avoir conduit toute sa carrière en ayant à l’esprit cette triple approche. Analyse. Conscience. Distance. “Quand je suis sorti d’Audencia, le problème n’était pas tant de trouver un emploi que de bien choisir entre plusieurs possibilités. En ce qui me concerne, j’avais des opportunités dans l’assurance, le sport, le pétrole… Mon coeur penchait vers le sport. La raison m’a emmené chez Exxon Mobil.” L’analyse se révélera payante. Compagnie prestigieuse, par définition très internationale, la plus petite des Sept Soeurs offrira très vite à Éric Dodin une première approche de la décision. “J’ai rencontré des patrons très charismatiques qui m’ont fait confiance et donné des responsabilités. Ce premier job a été très valorisant.” La confiance acquise chez Exxon Mobil lui donne des ailes pour enchaîner les postes et faire croître sa courbe d’expériences. En variant les plaisirs ! Il opte un moment pour le monde de la PME – Spies Hecker puis Standox – avec des fonctions de directeur France et directeur export puis prend en charge la direction de l’activité Business Travel chez Protravel. Et devient, début 2004, directeur de la business unit “Voyages d’affaires” chez Carlson Wagonlit Travel France. En 2007, il est nommé directeur des opérations Carglass France. Sa mission : concevoir une stratégie opérationnelle de croissance pour le groupe et mettre sur les rails une politique de développement durable volontaire. “La RSE n’est pas un sujet ‘à côté’, on ne fait pas quelque chose en plus, on fait tout différemment. À mon sens, la responsabilité sociétale ne peut pas être considérée comme une obligation mais comme une opportunité. Elle améliore les modèles, permet de mobiliser ses collaborateurs sur des questions qui ne sont pas uniquement centrées sur la performance économique et génère par ailleurs un effet de souffle positif qui va au-delà de l’entreprise.” Science sans conscience… Éric Dodin s’implique fortement, crée la direction du développement responsable, et affirme avec force ses principes éthiques. Analyse. Conscience. Distance : “Lorsque j’ai été nommé directeur général d’Europcar France, début 2013, je ne m’étais pas préparé à la solitude du décideur. On m’avait prévenu, mais entre savoir et expérimenter, il y a un monde. Et ce ‘monde’ ne relève pas du challenge intellectuel – il y a des équipes qui vous aident, qui vous fournissent de la matière et qui vous sécurisent –, non, ce ‘monde’, c’est la solitude. C’est un parcours initiatique difficile. Il faut savoir être en distance par rapport aux sujets et aux événements.” Mais attention, ce travail de distanciation doit être compensé. Impossible en effet de concevoir cette prise de hauteur comme le seul axe permettant de trancher ou de diriger. “Je m’assure de pouvoir garder une fibre terrain vivace. Ce n’est pas toujours simple, mais si vous perdez cela, la fonction vous isole et vous coupe des réalités et ça, il faut absolument l’éviter.” La bonne distance. La conscience. Et l’analyse. Éric Dodin est bel et bien un alchimiste.

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    • Le 30 janvier 2015

    Ne rien prévoir et tout envisager

    Nom: Damien Verdier Fonction actuelle: Group Executive Vice President and Chief Marketing Officer Sodexo. Diplôme Audencia: GE 79 Nationalité: Française Residence:     Ne rien prévoir et tout envisager. En 1979, Damien Verdier entre dans une entreprise de services en expansion dont la vision, la stratégie et les valeurs annoncent le possible essor planétaire. 10 000 personnes à son arrivée ; 420 000 aujourd’hui. Stagiaire en 1979, membre du comité exécutif et Responsable Mondial du Marketing et de la Stratégie en 2013. La carrière de Damien Verdier interroge. Et passionne.  Comment fait-on pour détecter, à 20 ans, la bonne entreprise ? Celle qui donnera l’élan nécessaire à une mise sur orbite réussie ou qui autorisera, en interne, la conduite d’une carrière ascensionnelle passionnante ? Cette question, tous les étudiants se la posent et se la reposent. Et la réponse est… qu’il n’y a pas de réponse. Il y a juste une multitude d’indices, des intuitions et des données éparses qu’il convient d’agréger dans une réflexion pragmatique qui embrasse large. Prenons l’exemple de Damien Verdier. Étudiant à Audencia Nantes, il se rapproche de Sodexo pour le compte d’une association dont il est membre. Objectif de ce premier contact ? Placer des étudiants étrangers en quête de stages. L’entreprise Sodexo décline l’offre mais se déclare en revanche prête à l’accueillir, lui. “À l’époque, j’ignorais tout du coeur de métier de Sodexo mais je savais qu’il travaillait dans le domaine des services – alors en pleine expansion – et que le stage qu’il me proposait serait très ouvert.“ Secteur en croissance, orientation généraliste, les antennes de Damien Verdier se mettent à crisser. Il accepte. “J’ai circulé entre la Bretagne et les Pays de la Loire. La culture de cette entreprise m’a séduit. Ce que je voyais par ailleurs, c’étaient les énormes capacités de croissance de cette entreprise, qui grossissait sous mes yeux et qui souhaitait s’internationaliser et devenir mondiale.“ Prise de recul, analyse macro-économique in situ, création d’un embryon de réseau. Sa religion est faite : Sodexo est prometteur. Il l’intègre dès sa sortie d’Audencia. Chef de secteur à Tours, apprentissage global : management, relation clients, ressources humaines, tenue des budgets. Il a 22 ans. À 28, il prend la direction régionale des Pays de la Loire. L’heure est à la consolidation des acquis. À l’acquisition de nouvelles compétences. Dont la réflexion stratégique. Qui l’entraîne à la direction générale de Sodexo France Entreprises & Administrations. 10000 salariés sous sa houlette, un staff de directeurs – pour les ressources humaines, le financier, le marketing… – qu’il faut animer au quotidien tout en veillant à maintenir déployée une vision de moyen terme à cinq ans. “J’ai été nommé directeur général France cinq ans plus tard. Cet ensemble pesait 1 milliard et demi d’euros de chiffre d’affaires et employait 25 000 personnes.“ Réformes de structure pour repartir en croissance et des décisions nécessairement difficiles à prendre. “J’ai appris à ce moment-là ce que signifiait avoir du courage.“ Le compteur affiche 24 ans dans l’entreprise. Les portes de l’international s’ouvrent. “Mes supérieurs me proposent alors quelque chose de totalement différent.“ Damien Verdier endosse le rôle de directeur Stratégie pour l’Europe. De 25 000 salariés à trois collaborateurs en l’espace d’un instant. La prise de recul est vertigineuse. “Ce poste a été une chance incroyable. L’idée était d’aider les patrons des différents pays – Scandinavie, pays de l’Est – à bâtir leur stratégie sur la base de mon expérience. Ce travail de transmission a été passionnant, parce qu’en plus des rencontres, il me permettait de voir des réalités différentes, des pays en croissance, des petits et des grands, des économies matures…“ 2005, il entre au comité exécutif. Il animera désormais, au niveau planétaire, quatre grands réseaux : le marketing, la structure achat, le développement durable et la fidélisation client. Les nouvelles compétences s’empilent. La vision mondiale est désormais son quotidien, les responsabilités énormes, le plaisir intact. 

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    • Le 23 janvier 2015

    Elaborer un enseignement dynamique mis au service des hommes et de la recherche

    Nom: Pascale Quester Fonction actuelle: Deputy Vice-Chancellor & Vice-President, University of Adelaide Diplôme Audencia: GE 85 Nationalité: Française Résidence : Australie  Enchaîner les adjectifs, additionner les postes, compter les kilomètres, lister les faits d’armes ? Un exercice vain. D’abord, parce que, malgré nos efforts, cela ne permettrait pas de rendre compte, exhaustivement, de la richesse et de la densité d’une trajectoire hors du commun. Ensuite, parce ce que nous passerions quand même à côté de l’essentiel : la volonté de Pascale Quester de participer à l’élaboration d’un enseignement dynamique mis au service des hommes et de la recherche. J’ai financé mes études en travaillant toutes les nuits dans un foyer, ce qui a pu créer, parfois, un léger décalage avec ce que vivaient mes camarades de promo.” Après avoir tenté – mineure – d’aller étudier la physique et les mathématiques dans une école londonienne – refusé : “vous n’avez pas 18 ans” –, Pascale Quester met le cap sur la faculté des sciences de Nantes où le manque de passerelles entre les disciplines l’oriente vers Audencia Nantes. “J’ai fait une prépa avec l’ambition d’entrer à Audencia et de décrocher dans la foulée un ticket pour Columbus.” Nantes pour la pluridisciplinarité. L’université de l’Ohio pour le marketing comportemental. La discipline qui puise autant aux mathématiques qu’à la psychologie l’intéresse au plus haut point. Elle y entre. Refuse de faire un MBA au profit d’un master en marketing, se voit proposer, après Audencia, une bourse pour suivre un doctorat à Columbus. Nouveau refus. Motivé cette fois par... des conditions climatiques. “La vie est trop courte pour faire trois hivers supplémentaires ici.” Pas rancunier, Peter Dixon, l’un de ses superviseurs de master, lui décroche un contrat de professeur en... Nouvelle-Zélande. Problème, les services secrets français viennent de faire sauter le Rainbow Warrior dans le port d’Auckland ; autant dire que les autorités locales ne se pressent pas pour lui délivrer son titre de séjour. Pendant cinq mois, elle tanne le consulat jusqu’à obtenir, finalement, un visa temporaire de six mois. Ses vols sont réservés : un aller-retour Nantes/Londres – question de coût, l’aller-retour était moins cher ! – et un aller simple Londres/Auckland. Pascale Quester embarque. Pour la plus longue journée de son existence. “J’étais à Londres. J’ai attendu mon vol pour la Nouvelle-Zélande toute la journée avec, dans la poche, mon retour pour Nantes. D’un côté, le monde connu, ma famille. De l’autre, l’inconnu, l’aventure. Ça a été très dur et ça restera sans doute l’une des expériences les plus marquantes de ma vie.” Le remboursement du vol retour servira finalement à acheter une voiture... en arrivant à Palmerston North, Nouvelle-Zélande. Pascale Quester est professeur de marketing en MBA à l’université de Massey, travaille à mi-temps comme chef de produit, et obtient un poste de professeur en MBA Executive à l’université de Wellington. Après tout, les semaines font sept jours, non ? Elle se lance dans une expérimentation sur le couponing. “J’ai eu l’opportunité de recruter deux compagnies – Kraft et Unilever – pour conduire ce programme et de pouvoir mobiliser un magazine. L’idée était de comprendre si le fait de distribuer des coupons de différentes valeurs avait un impact sur les ventes. Les distributeurs penchaient pour le ‘oui’, les fabricants pour le ‘non’.” Lancée à l’échelle du pays tout entier, l’expérimentation clôt la querelle au profit des fabricants. Et offre à Pascale Quester une célébrité planétaire. Les résultats préliminaires sont exposés lors d’une conférence en Tasmanie. Des représentants de l’université d’Adélaïde sont dans la salle. Ils lui proposent un job. Elle n’a pas fini sa thèse. “Qu’à cela ne tienne, vous viendrez après.” Elle accepte. Elle débarque en Australie par 40° le 10 janvier 1991. Elle a trente ans. Trouve qu’il fait chaud. Prend une maison sur la plage et un poste de maître de conférences. Une manière de concevoir l’enseignement totalement innovante et une curiosité intacte donnent à Pascale Quester l’élan pour franchir toutes les étapes académiques en dix ans – il en faut normalement trente –, créer des enseignements et se positionner pour entrer dans le Saint des Saints. Elle lance un programme de transformation de l’université, casse les codes de coopération entre l’université et les syndicats étudiants et accède à la viceprésidence de l’université d’Adélaïde en juin 2011. Pascale Quester vit toujours dans sa maison sur la plage. Et reste animée par cette volonté farouche de faire bouger les lignes. Les siennes, comme celles de ses contemporains.

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    • Le 21 novembre 2014

    Une double compétence ingénieur-manager pour devenir entrepreneur

    Non: Sébastien Bouillet Fonction actuelle : President Fondateur Gamoniac Diplôme Audencia: GE 2010 Nationalité: Française Résidence:   "La double formation Audencia, c'est appréhender un service, un produit dans une entreprise pour savoir le vendre en mettant en avant à la fois les aspects techniques et l'aspect utilisation... faire rêver les gens !" Sébastien Bouillet en video ici

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    • Le 20 novembre 2014

    Etre créatif, oui, mais également savoir vendre cette créativité

    Nom: Julien Tourme Fonction actuelle: Monsieur Lucien Diplôme Audencia: Bachelor EAC 2008 - Bac+5 Sciences Com filière communication 2010 Nationalité: Française Résidence: Paris  Interview Julien TOURME – Diplômé EAC 2008 20 novembre 2014   Tout type d’entreprise a besoin de communiquer pour se développer : c’est la conviction de Julien TOURME, diplômé EAC 2008 et créateur de la société Monsieur Lucien ! Depuis ton diplôme en 2008, tu construits ton parcours autour de la communication. Quels sont selon toi les bons ingrédients pour travailler dans ce domaine ? Lorsque l’on travaille sur un projet de communication, il est difficile selon moi de laisser la commercialisation de ce projet à quelqu’un d’autre, ce serait trop frustrant ! C’est ce à quoi je me suis toujours attaché depuis mes études à l’EAC : la double compétence vente/communication. J’avais en tête, avant d’intégrer l’école, d’intégrer les métiers de la communication mais j’ai souhaité réaliser une partie de mes stages dans la vente afin de gérer l’appréhension d’être face au client, de savoir construire un argumentaire de vente, d’aller plus loin dans la relation client. Pour résumer, c’est cela le meilleur ingrédient pour travailler dans la communication : être créatif, oui, mais également savoir vendre cette créativité ! A quel moment as-tu décidé de te lancer dans la création d’entreprise ? Avant de me lancer dans cette aventure, j’ai souhaité partir durant un an en Australie, où j’ai occupé un poste de traducteur à Melbourne. Début 2012, de retour à Paris,  j’ai occupé plusieurs postes, en tant que chargé de communication et chef de projet cross media, étapes absolument essentielles pour se former. Ma fibre d’entrepreneur et mon envie de travailler avec des clients à taille plus humaine, avec de plus faibles budgets, des problématiques en communication essentielles, tout en conservant une notion forte du service clients, m’a poussé à me lancer dans  la création de Monsieur Lucien.   Monsieur Lucien : « Le conseiller en communication web pour commerces, artisans, professions libérales, TPE et PME. » Peux-tu nous en dire davantage ? J’ai toujours eu en tête que les commerçants, artisans, professions libérales, TPE et PME étaient légitimes dans leur besoin de communiquer sur internet, face aux grandes structures. On les entend pourtant trop souvent dire : « La communication web, ce n’est pas pour moi ». Ou encore : « Je n’ai pas le budget pour ». Ou enfin : « Je fais ce que je peux avec mes propres moyens ». Par ailleurs, j’ai la conviction que la transition numérique doit concerner ces types de structures aussi bien que les grandes entreprises. Le fait est que peu d’agences proposent des prestations accessibles, avec une réelle proposition de stratégie de communication, une formation et un suivi des réseaux sociaux, etc... L’idée de Monsieur Lucien est donc de proposer cela, en y ajoutant un véritable « Service Après-Vente » : livrer une stratégie de communication, un site web, etc… tout en éduquant, formant et suivant le commerce, la tpe, l’artisan, l’indépendant, la PME… Enfin, je dois dire que je me retrouve dans cette cible des petites entreprises, pour son aspect humain fort : j’aime bien l’idée de « vulgariser » la communication auprès de professionnels que je qualifierais « de proximité ».   Selon toi, en quoi les réseaux sociaux peuvent-ils révolutionner la communication pour ces entreprises ? Les réseaux sociaux sont totalement adaptés à ces entreprises dites « de proximité » puisqu’ils incarnent véritablement l’instantanéité et la proximité : ils rapprochent nettement et rapidement l’émetteur et le récepteur. D’autre part, c’est un nouveau de moyen de créer une communauté, de développer son image, de la contrôler et de récupérer un maximum d’informations sur leur cible, la qualité de leurs services, leurs produits…. Enfin, les réseaux sociaux aident au référencement. Chaque entreprise, peu importe sa taille, a un intérêt d’y être présent pour être plus visible et toucher de nouveaux clients.   Aujourd’hui, de quels fondamentaux acquis à l’EAC te sers-tu dans ton quotidien ? Je me souviendrai toujours d’un mail que j’avais adressé à l’EAC durant mon stage dans l’agence I love Events et dans lequel j’écrivais ceci : « Je suis surpris de voir à quel point le monde du travail correspond totalement à ce que l’on nous a enseigné durant nos 3 années d’études à l’EAC ». C’est donc tout d’abord cela que je retiens : la cohérence entre les cours et le terrain ! Deuxièmement, un élément concernant l’épanouissement professionnel m’a marqué lors de la conférence de Gaspard ATEDZOUE : le moteur professionnel n’est pas toujours uniquement l’argent, il peut être ailleurs et est très personnel. Enfin, ma mission en tant que président du Bureau des Elèves a été riche : première réelle expérience de management, de gestion d’équipe, de prise de décision, valorisable sur un CV encore aujourd’hui ! Que peut-on te souhaiter pour 2015 ? Je cherche à m’associer pour allier mes compétences de développement commercial et de création web à celles d’une personne compétente en référencement et/ou en réseaux sociaux avec ce même attrait pour le développement commercial et l’envie d’entreprendre. Ce serait un très beau challenge et me permettrait de partager les décisions et les bonnes pratiques ! L’avenir nous dira si tout cela est possible, ce que je me souhaite vivement ! 

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    • Le 28 octobre 2014

    J’ai fait le choix d’aller vers un Master par goût pour l’apprentissage et les études

    Nom: Clara Lheriau Fonction actuelle:  Diplôme Audencia: Bachelor EAC 14 Nationalité: Française Résidence:   Interview Clara LHERIAU – Diplômée EAC 2014 - 28 octobre 2014   Fraîchement diplômée, Clara évoque notamment son appropriation des valeurs de l’EAC, à travers des moments-phares de sa scolarité. Tu es entrée à l’EAC en 2011. Pourquoi l’EAC a été ton choix n°1 ? En classe de 1ère, j’avais réalisé un stage en agence de communication. Une première immersion dans le monde de l’entreprise qui m’a donné l’envie de découvrir tous les pans de cet univers. Une école de commerce était donc le meilleur moyen de satisfaire ce souhait. Pourquoi l’EAC ? C’est une école reconnue par les entreprises, on y pratique de nombreux stages, les expériences à international peuvent être nombreuses et j’avais également entendu parler du suivi de chacun des étudiants sur leur projet professionnel, leur stage, leur poursuite d’études, etc…  Dès ton arrivée, tu t’es beaucoup impliquée dans le Comité d’Intégration des Admissibles. Pour quelles raisons et quels bénéfices en retires-tu ? Le fait de représenter l’EAC auprès des lycéens et de leurs parents me plaisait : cela me permettait de contribuer, à mon échelle, à l’avancée et à la progression de l’EAC. Par ailleurs, faire partie d’une équipe est selon moi très riche en termes d’adaptation aux autres, de collaboration, de complémentarité des personnalités. Ce que j’en retire est tout d’abord un développement de savoir-faire transférables dans le monde professionnel : accueillir, prospecter, organiser, notamment. Ensuite, le fait d’aider les lycéens à se positionner sur leur projet d’études m’a permis de prendre du recul sur moi-même, de me poser les bonnes questions quant à mon propre parcours et à mes propres stratégies d’orientation (stages, poursuite d’études, etc…). En discutant avec les autres, on répond parfois à nos propres questions et on se crée un réseau. Enfin, cette expérience est de mon point de vue valorisable lors d’un entretien de recrutement : elle est signe d’implication, d’engagement, d’organisation, qualités non négligeables lorsque l’on veut « faire mouche ».   Tu as fait le choix de la poursuite d’études, et comptes donc parmi les diplômés à avoir intégré Audencia Ecole de Management en septembre. Comment as-tu opéré ce choix ? J’ai fait le choix d’aller vers un Master par goût pour l’apprentissage et les études et par volonté d’aller plus loin dans le management et dans des entreprises de plus grande taille. Pourquoi Audencia Ecole de Management ? Tout comme l’EAC, c’est une école reconnue et très bien classée. Par ailleurs, le cursus propose l’alternance en 2ème année et un semestre d’études à l’étranger. Enfin, j’y retrouve les valeurs responsables du Groupe Audencia, notamment la problématique RSE, qui est un sujet important pour moi aujourd’hui.   En quoi cette formation complète-t-elle celle de l’EAC ? D’un point de vue technique tout d’abord. Après 3 ans passés à l’EAC, ma spécialisation Marketing Stratégique et Opérationnel (ndlr : aujourd’hui spécialisation Marketing Stratégique et Communication, Option Marketing), comprenant de nombreux projets sur lesquels nous missionnaient les entreprises et un stage de 6 mois dans le marketing, je me sens techniquement opérationnelle. Ce sur quoi je souhaite progresser est le domaine financier et le management. Ensuite d’un point de vue encadrement. En sortant du lycée, j’avais besoin d’un accompagnement précis sur mon projet. L’EAC correspond tout à fait à cela : j’y ai senti un accompagnement de proximité. A Audencia Ecole de Management, le suivi est toujours important mais je me sens plus aguerrie grâce au suivi de l’EAC et donc désormais plus autonome dans mes choix et mes prises de décision.   On parle beaucoup de réseau, notamment de réseaux des diplômés. Qu’attends-tu de celui de l’EAC, Atlanciens ? J’en ai beaucoup entendu parler tout au long de mon cursus, notamment via les forums organisés par l’école et via les réseaux sociaux. J’attends de ce type de réseau de la convivialité, de l’échange tout en étant axé sur le business et le recrutement. Pour terminer, je sais que tu t’es parfaitement appropriée les valeurs de l’EAC. Peux-tu nous en parler ? Les 5 valeurs de l’EAC ont en effet marqué des moments phares de ma vie d’étudiante. J’ai pu les mettre en pratique en « allant jusqu’au bout de mes rêves », lors de mon stage en Italie ; en étant « citoyen du monde », lors de mon semestre d’études à Oslo ; en « prenant plaisir à travailler ensemble », lors de mon stage au Voyage à Nantes ; en « saisissant les opportunités de la vie », lors de mon stage de fin d’études chez AXA Assistance, stage identifié après avoir été « repérée » sur les réseaux sociaux par la Directrice Marketing ; en sachant « rester humble », pensant  qu’il est nécessaire d’accepter les conseils qui nous permettent de grandir et de progresser.

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