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    • Le 14 décembre 2017

    Isabelle BLISSON SEGOND (GE 96), Carpeto

      - 14 DECEMBRE - Isabelle BLISSON SEGOND (GE 96) Co-fondatrice de CARPETO Offrez à vos enfants des tapis de jeux en cliquant ici   De l'automobile aux tapis de jeu : itinéraire d'une maman comblée !   Fraichement sortie d'Audencia en 1996 avec l'envie d'avoir une expérience professionnelle à l'étranger, j'ai mis le cap sur l'Allemagne puis le Royaume Uni, chez Valeo, en tant que Chef de Produit Embrayages. 2 ans plus tard, la CCI du Havre m'ouvre ses portes pour prendre en charge la communication de l'aéroport et des ponts de Normandie et Tancarville.   Les années passant, 4 petites têtes plus ou moins blondes ont vu le jour et j'ai découvert de nouvelles occupations : jouer aux playmobils, aux légos, construire des tours en Kapla, passer des heures à construire puis à déconstruire des univers ... et me voilà en Bretagne, aux pays des korrigans ! Après une expérience de 3 années dans l'enseignement, je me suis lancée dans l'aventure Carpeto, avec le désir de proposer aux enfants des décors de jeux, leur permettant d'inventer des histoires pour leurs figurines préférées (legos, playmos, ...), et de stimuler leur imagination ! Avec des designs esthétiques et épurés, une matière novatrice, nos tapis de jeu ont très vite rencontré un vif succès auprès des enfants et de leurs parents, ainsi que des professionnels de l'enfance (écoles, crèches, cabinets médicaux).   De mon côté, je découvre les joies de l'entreprenariat et ses challenges au quotidien dans une ambiance "start-up"!       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 13 décembre 2017

    Pierre VIMOND (GE 13), Goûte !

      - 13 DECEMBRE - Pierre VIMOND (GE 13) Fondateur de Goûte ! Offrez-vous l'histoire de vos fromages en cliquant ici   "J’ai « atterri » dans le fromage parce que je cherchais du contact et du concret !" Pierre a suivi un chemin qui n'était pas tout tracé, guidé par son goût des bonnes choses. À travers des ateliers de dégustation, il raconte avec passion l'histoire de vos fromages. Mais avant de vous délecter de ces délicieux moments, il vous donne 6 conseils pour une reconversion épanouie :   Sois heureux, pas le meilleur ! Il y a 10 ans, je suis entré en prépa et le directeur du lycée a dit à ma classe qu’on faisait partie de l’élite de la nation. Je n’avais pas la moindre idée de ce que j’allais faire de ma vie, et encore moins comment j’allais bien pouvoir mériter ce qualificatif. J’espère qu’on ne dit plus ça aux étudiants. Être le premier ou l’élite peut certainement booster la satisfaction sociale, mais pas vraiment le bien-être personnel.   Identifie ce qui rend ta journée agréable Dix ans ont passé et m’ont permis d’apprendre que j’avais mieux à faire : trouver une activité qui rende mon quotidien désirable. J’ai été diplômé d’Audencia en juillet 2013 et j’ai trouvé du travail dans une agence de com’ web. Il m’a fallu un an pour accepter que je n’étais pas un intellectuel, et que je ne réussirais pas à m’épanouir en consacrant mon temps à chercher des solutions à des problématiques abstraites. Je me suis tourné vers le commerce du fromage, j’avais fait ça un été quelques années plus tôt et ça m’avait plu. J’aimais beaucoup en manger, c’était on ne peut plus concret, et puis ça me permettait d’expliquer facilement à ma grand-mère ce que je faisais de mes journées.   Teste sur le terrain Pendant des mois, j’ai fait de la vente dans une boutique parisienne – la fromagerie Quatrehomme dans le 7è arrondissement – sans aucune forme de responsabilités, et ça m’a fait énormément de bien. La notion de stress au travail a disparu de ma vie. J’ai souri à des centaines d’inconnus qui voulaient un petit pot de crème, un camembert fait à cœur mais pas fort, ou juste un œuf, et ils ou elles me souriaient en retour. Je me suis cultivé sur le sujet, qu’on prend rarement le temps d’explorer quand on a une vie bien occupée.   Rencontre des passionnés J’ai rencontré beaucoup de producteurs en voyageant partout en France, c’était passionnant, souvent touchant, parce que ces gens font vivre notre patrimoine culturel de manière humble, sans demander grand-chose en retour. Et je me suis construit une culture et une sensibilité autour de thématiques brûlantes à côté desquelles je serais sûrement passé sans m’arrêter il y a quelques années : l’industrialisation de nos savoir-faire, la standardisation du goût, le respect des sols, de l’environnement et des animaux, la répartition des revenus sur la chaîne de valeur alimentaire. Envisage la reconversion comme un double-diplôme J’ai pris un peu de galon au sein de ma structure, coordonnant depuis un an l’activité de la boutique. Répartir les tâches, proposer un discours sur le produit, faire en sorte que notre espace et notre accueil soient impeccables pour les clients. Et gérer l’humain. C’est un laboratoire de management fantastique, aux profils variés en âge, expérience et ambition, avec ses micro-conflits propres à un travail prenant physiquement, et psychologiquement : il faut accepter d’avoir deux patrons, le vrai et le client, juge permanent de la qualité de notre travail.   Suis tes envies Aujourd’hui, j’ai envie de partager ce que j’ai appris et ce qui me fait vibrer par la dégustation. Expliquer le goût et comment trouver les bons fromages, les associer avec le vin, rendre hommage à ceux qui ont mis leur énergie dans le produit. Parler de tout ça demande du temps qu’on n’a pas souvent en boutique. D’où l’idée, à travers ma start-up ‘Goûte’, d’organiser des dégustations. Des thèmes sont possibles et il y en a pour tous les goûts : fromage & vin ou bière, focus régionaux, dégustation à l’aveugle, créations fromagères… Groupe par groupe autour d’un bon plateau, j’espère servir au mieux mes convictions, en faisant découvrir les bonnes choses qui ont un sens et une histoire.     <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 12 décembre 2017

    Pauline DUMAIL (GE 01), Feel By Smell

      - 12 DECEMBRE - Pauline DUMAIL (GE 01) Auteur du roman "La vie est un parfum, respirez-la !" Offrez-vous l'histoire d'une odeur en cliquant ici   "Après Audencia et quelques années passées dans des grandes entreprises, je me suis réveillée un matin avec la sensation d'être emprisonnée dans des cases qui ne me ressemblaient pas." Pauline décide alors de prendre sa vie en main. Tout déconstruire pour reconstruire ses propres cases, en écoutant son cœur et son intuition. Elle se met à écrire un roman original, se déroulant de 1980 à 6015, autour de 4 parfums incarnés par 4 personnages. Spécialiste en aromathérapie, olfactologie, parfums, fleurs de Bach, Pauline nous y entraîne dans un voyage initiatique, une sorte de socio-écolo-psycho fiction.   Racontez-nous cette reconstruction… Cela n'a pas toujours été facile. Beaucoup de doutes, de moments de galères financières, la sensation à plusieurs reprises d'avancer le pied dans un précipice, et à chaque fois, de découvrir, avec émerveillement, qu'une poutre invisible était là pour m'accueillir, mais qu'elle ne devenait visible qu'à partir du moment où j'avais fait le pas.   Depuis combien de temps écrivez-vous ? Depuis que je sais écrire ! Je me souviens d'un cadeau qu'on m'a fait pour mes 8 ans, un journal intime. Puis des cahiers que j'ai remplis, avec toujours la date à chaque billet, et, parfois d'une page à l'autre, des écarts de plusieurs années, en avant, en arrière… parfois j'écrivais moi-même des choses, parfois je notais certains passages de mes lectures qui m'avaient bouleversée.   Comment vous est venue l'idée d'écrire un roman ? Il y a une bonne dizaine d'année, c'était un matin de juillet à la chaleur torride… j'ai fait une rencontre dans le métro. Une rencontre très… olfactive. Et j'ai écrit cette rencontre, puis j'ai envoyé le résultat à mes proches. Si j'avais su où tout cela allait me mener…  Ce que j'ai écrit à ce moment-là est… la première scène du roman. Quelques années plus tard, alors que j'étais en pleine 'déconstruction", j'ai repris cette page d'écriture, et j'ai commencé à dérouler le fil, à construire une histoire. Mais je n'y connaissais rien en parfums, j'avais besoin de matière. Je me suis donc dirigée vers l'aromathérapie, puis les fleurs de bach, enfin, vers l'olfactologie. Là, j'avais la sensation qu'enfin, je trouvais le lien, je découvrais le pouvoir vibratoire des odeurs. Parfois, c'est l'envie d'écrire qui me faisait prendre certaines directions, et parfois, c'est l'apprentissage et l'expérience qui me donnaient la matière pour écrire.   Vous êtes-vous inspirée de personnages, lieux ou faits de la vie réelle pour l'écrire ? Aucun personnage ne correspond totalement à une personne de la réalité, et, la première matière première d'un écrivain étant lui-même, il y a un peu de moi dans chacun. De nombreuses recherches sur différents sujets comme la permaculture, la biodiversité, les plantes à parfums, la place du féminin dans notre monde, les systèmes de pouvoir, les inégalités, l'éducation, le symbolisme, la physique quantique, m'ont amenée à faire de belles rencontres qui ont nourri ma plume. Toutes ces personnes pour lesquelles je ressens une infinie gratitude sont citées à la fin du livre.   Que tenez-vous à faire passer dans votre roman ? Ce que je voudrais faire passer en une phrase ? Hum…. la vie est un parfum… respirez-la ! lol.  Il y a deux dimensions importantes pour moi qui me tiennent à coeur dans la vie, et que j'espère, je fais passer dans mon roman :  1) la sphère individuelle, la reconnexion à soi. Nous vivons dans une société très mentalisée, et sommes parfois, souvent, coupés de notre corps et de nos émotions. On peut avoir identifier des schémas, des causes de nos mal-êtres, mais si on ne descend pas dans le corps, il n'y aura pas de guérison possible. L'émotionnel et le corps, c'est l'instant présent, et c'est ce qu'il y a de plus difficile et… c'est magnifique.  2) la sphère collective et écologique, et les systèmes dans lesquels nous vivons qui parfois me laissent perplexes dans la déshumanisation et la désertification à laquelle ils aboutissent. Mais étant une incorrigible optimiste, je veux croire en l'être humain et en une prise de conscience collective quant à notre avenir et à notre pérennité, qui dépendent de notre capacité à sortir des égos matérialistes et à co-créer le monde que nous voulons laisser à nos enfants.   Avez-vous un rituel d'écriture, un lieu propice à cela ? Pas vraiment de rituel d'écriture, mais deux manières différentes de procéder :  - la manière rationnelle, qui vient faire la synthèse de mes recherches et connaissances, et qui nécessite d'abord une digestion, puis un environnement calme où les mots prennent forme dans un raisonnement construit.  - la manière émotionnelle, en mode "feu d'artifice", où les mots jaillissent, quelque soit l'endroit et l'environnement. Quand c'est là, j'arrête tout, je me mets derrière mon écran, il peut y avoir un brouhaha monumental autour de moi, cela ne change rien. je tape frénétiquement sur mon clavier, un sourire béat sur les lèvres, et rien ne peut me stopper. c'est un peu comme si la fée clochette était au dessus de mon épaule et me balançait de sa poudre magique. Ce sont des moments de grâce.  Dans tous les cas, ce ne sont pas des moments qui se programment.   Avez-vous l'intention d'écrire d'autres romans ?  Ouiiiiii. Je suis fascinée et me sens appelée par les civilisations mayas aztèques et incas. Si des personnes passionnées et aguerries sur ces sujets lisent ces lignes, j'aimerais beaucoup qu'elles se manifestent !       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 11 décembre 2017

    Early Christmas visitor for alumni in Tokyo!

    On 9th December, Audencia Alumni in Japan got together at the Oyako Cafe Hokkuru in Asagaya for their traditional Christmas party. Santa began his rounds early and visited the gathering of alumni with gifts for children and adults alike. Audencia t-shirts and boxes of LU biscuits “made in Nantes” topped the list. Thank you everyone for coming all the way to Asagaya to enjoy a very nice Christmas party!

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    • Le 11 décembre 2017

    David VALLET (GE 95), Domaine de Valmengaux

      - 11 DECEMBRE - David VALLET (GE 95) Fondateur de Domaine de Valmengaux ! Offrez-vous des vins bios d'exception  en cliquant ici   "Comment donner du sens à mon travail ? En produisant les vins que j’aime boire et partager avec mes proches ! " Pour illustrer ce changement de vie, David nous présente son double portrait chinois : celui du salarié pendant près de 20 ans et celui du vigneron depuis cette année. "Si j'avais été [le salarié] / Si j'étais [l'entrepreneur]...   UN ANIMAL [le salarié] ...j'aurais été du jeune loup au dinausaure ! J’ai démarré dans la vie professionnelle avec l’insouciance et l’ambition du débutant. Après des débuts en contrôle de gestion puis en consulting ERP, j’ai développé mes responsabilités au sein de projets informatiques. Je n’ai pas vu passer les 10 premières années, sans me poser de questions. Les 10 suivantes m’ont vu revenir vers les problématiques budgétaires / contrôle de gestion. Avec, de plus en plus, le sentiment d’un déséquilibre entre le temps passé à travailler et la satisfaction que j’en retirais. Malgré un dernier poste stimulant, j’ai commencé à me sentir en voie de … « dinosaurisation » ! [l'entrepreneur] ...je serais un cheval de trait ! Celui qui travaillera mes vignes, un jour, peut-être ? D’un naturel placide, il trace son sillon à son rythme, sans en dévier, les pieds dans la terre.   UN ELEMENT [le salarié] ...j'aurais été l'air ! Comme celui brassé durant ces années à argumenter, challenger projets et budgets. [l'entrepreneur] ...je serais les 4 à la fois ! - La terre, mère nourricière, que j’arpente à longueur d’année dans mes vignes ; - L’eau et le feu (soleil) dont la vigne a besoin pour se développer et sous lesquels je travaille ; - L’air, avec lequel il faut jouer durant les fermentations et l’élevage du vin, celui que je respire dans mes vignes, plus sain (bio oblige) qu’à Paris.   UN OBJET [le salarié] ...j'aurais été un ordinateur portable !  Extension naturelle de mes mains et outil de travail quasi-exclusif à cette époque. [l'entrepreneur] ...je serais un sécateur électrique ! Nouvelle prothèse de ma main droite qui repousse chaque année de janvier à mars.   UNE PHRASE [le salarié] ...j'aurais été « La confiance n’exclut pas le contrôle » (Bernard MADOFF) !  [l'entrepreneur] ...je serais « Je préfère le vin d’ici que l’eau de-là » (Pierre DAC)   UN ADVERBE [le salarié] ...j'aurais été 'Laborieusement' !  [l'entrepreneur] ...je serais 'Humblement' !   Joyeuses fêtes… agrémentées de Valmengaux !   <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 10 décembre 2017

    Anne-Sophie VASSEUR (GE 04), LVB - PASSTIME NANTES

      - 10 DECEMBRE - Anne-Sophie VASSEUR (GE 04) Co-fondatrice de LVB - PASSTIME NANTES ! Offrez-vous des réductions exclusives en cliquant ici   Auditrice financière pendant 12 ans, Anne-Sophie s’est lancée dans l’aventure entrepreneuriale à la suite d’un bilan de compétence. Vous pensiez que l’envie de devenir entrepreneur était innée ? Pas toujours visiblement…   Se lancer… une évidence ? Non, pas vraiment au début. Pendant ma période d’audit, j’ai suivi un programme organisé par l’association Avarap, que j’avais connue par le biais d’Audencia. Je la recommande d’ailleurs dès que je le peux. J’ai passé un soir par semaine pendant 6 mois à travailler, en groupe, sur mes compétences et mes aspirations pour l’avenir. Parler librement de soi et de son boulot à d’autres professionnels qui se posent les mêmes questions, m’a permis de prendre du recul et de réaliser qu’en fait, je ne me sentais pas trop mal dans mon travail. Et puis le cabinet dans lequel j’étais s’est structuré davantage, je suis devenue maman, j’ai rénové une deuxième maison, bref, j’ai mis entre parenthèses mes réflexions sur la suite de ma carrière.   Plus d’entrepreneuriat alors ? C’est venu un peu plus tard, courant 2016. J’ai réalisé, ‘une fois de plus’, une mission complexe dans un calendrier serré. Ce matin-là, j’ai fermé la porte de mon bureau et j’ai répété ‘j’ai pas envie, j’ai pas envie, j’ai pas envie’. Et je l’ai fait. Plutôt bien semble-t-il… Le jour même, une opportunité de reconversion de créer le Passtime de Nantes vient à moi et je m’autorise à me dire : ‘pourquoi pas moi ? ça pourrait me plaire’. Eh oui, si je suis capable de bien faire quelque chose que je n’ai pas envie de faire, finalement ça ouvre tout un champ des possibles…   Les 3 choses essentielles à retenir de ces années ? 1- L’erreur n’est pas très importante : c’est la gestion de l’erreur, c’est assumer, c’est chercher les solutions qui importent. On peut sortir grandi d’avoir commis une belle boulette. 2- Le collectif prime sur l’individuel. 3- C’est quand même mieux de bosser dans la bonne humeur ! Aujourd’hui, je suis toujours en phase de lancement, l’activité n’est pas encore pérenne, mais je suis convaincue que le jeu en vaut la chandelle.   Des rencontres ? Ô combien ! Mon associée Isabelle : notre complémentarité présumée se confirme chaque jour. Armand, le responsable du Passtime de Quimper : sur le papier, nous n’avons pas grand-chose en commun et pourtant c’est un précieux allié dans cette aventure. On s’appelle 2 fois par jour pour partager nos stratégies, nos doutes, nos victoires.  Roger, un client chauffeur routier : il lit 6 à 7 livres en même temps (un différent par jour) : respect !   L’objet qui vous suit partout ? Mon sac à dos que ce soit en audit ou pour Passtime.       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 9 décembre 2017

    Johan NAZARALY (GE 11), Myfood

      - 9 DECEMBRE - Johan NAZARALY (GE 11) Co-fondateur de myfood Offrez-vous un potager vertical en cliquant ici   "J’ai fondé avec mes deux associés une start-up qui vise à fournir à l’humanité des outils pour produire une alimentation saine, durable et ultra-fraîche. Décentraliser les moyens de production, réduire les émissions de CO2, la pollution, les pesticide, l’usage d’OGM…"   Après avoir testé, vécu quelques revers, Johan nous partage pleinement l’expérience, parfois compliquée, de ses débuts d’entrepreneurs. On ne s’invente pas entrepreneur, on se construit et on le devient.   De la finance à l’entrepreneuriat… Ce passage est la résultante d’une accumulation d’expériences parfois fortuites, de rencontres, de modèles et de travail bien évidemment. Je suis issu d’une première formation d’ingénieur, complétée d’un double diplôme Audencia Grande Ecole avec une spécialisation Finance. Le diplôme en poche, on prend souvent des postes à responsabilité, dans des banques, des agences de conseils des grandes entreprises… Le travail est extrêmement enrichissant. On apprend beaucoup, on se structure. Une belle période d’apprentissage ! Seulement, à ce moment-là, je me retrouve à vouloir aller plus vite, plus haut, plus fort… à ‘bypasser’ des pants complets de hiérarchie, à trouver des raccourcis, des nouvelles méthodes et façons d’aborder les problèmes qui souvent n’en sont pas. C’est alors qu’un ami me propose de participer à un startup weekend pour partager avec « le monde entier » mes initiatives personnelles jusqu’alors réalisées seulement dans ma tête, sur mon bureau ou dans mon garage. Et là messieurs, mesdames, c’est le début de la fin… tout vole en éclats, il y a un écho dans l’audience, sur internet… WTF !? La vraie carrière d’entrepreneur démarre à ce moment précis où on se pose la question : « what if  ? » Bon je vous annonce tout de suite, il n’y a pas de retour arrière possible.   Les débuts de l’expérience entrepreneuriale… Je n’aurais pas l’audace d’avoir la solution ultime. Mon conseil est d’y aller toujours à fond mais par étapes successives. ...A fond ? Oui toujours. On ne fait pas de choses à moitié… il faut savoir se donner les moyens de ses ambitions. Ma première startup n’a pas fonctionné à cause de cela. Consacrer 30% de son temps et ses weekends complets ne veut rien dire.  Il ne faut pas juste passer du temps, il faut y aller ! ...Par étapes ? Il ne s’agit pas de claquer la porte de son emploi à la première lubie gribouillée sur un morceau de papier et prétextant que cette idée, « mon idée », est une révolution et qu’elle va « disrupter »  l’économie, le marché, le monde et que.. et que… je vais revendre tout ça à google. Il faut se faire accompagner, prendre du recul, tester son marché, se poser les bonnes questions, se demander pourquoi on le fait, avoir un regard extérieur. Le réseau est un des éléments particulièrement important à activer à cette étape cruciale. Il est en effet assez simple de trouver des interlocuteurs compétents et bienveillants qui vont vous aider ou au pire vous orienter vers les bonnes personnes.   Le réseau sans modération... Nous avons la chance d’avoir un réseau et une communauté active, de très grande qualité. En tant qu’ancien participant du Bureau de l’Association Audencia Alumni, je peux vous assurer que de nombreuses personnes travaillent au quotidien pour nous offrir les contenus que nous consommons innocemment. Si seulement tout le monde pouvait se rendre compte des opportunités et des ponts qui peuvent êtres tissés dans nos vies de tous les jours ! Sérieusement, venez participer et vous verrez. Parfois, vous pourrez même lever des fonds. Attention en revanche, il faut prendre les conseils et se nourrir de toute cette matière. Mais à un moment il faut démarrer concrètement et accepter de pouvoir éventuellement se tromper.   Bien s’entourer… Il faut une équipe de choc, c’est évident. Mais surtout une équipe complémentaire. Les amis ne feront pas tous des bons partenaires d’affaires. Il faut aussi ne pas être trop nombreux.  J’ai eu la chance de rencontrer l’un de mes associés actuels à l’Ecole et très vite le troisième associé (qui est son cousin) nous a rejoint. C’est nos efforts conjugués et nos complémentarités qui nous ont permis d’avancer. Il faut énormément d’écoute, de confiance et de respect. Si un jour vous doutez de vos associés, il y aura un risque pour votre futur. Il faut très vite désamorcer les moindres points de tension pour éviter les escalades d’orgueils, de préjugés ou de fausses intentions. Toujours être en phase avec vos partenaires est la clé.   Soyons réaliste... Imaginez-vous entrepreneur(e). Comment voyez-vous votre journée ? Workshop stratégie, session expérience client, design produit 360, rencontre partenariats, rdv clientèle… et le soir cocktail d’entrepreneurs à la BPI ? Bon, je vais être cruel et direct -il faut être honnête- arrêtez de penser cela.  Vous ferez également le courrier, les cartons, la compta, le collage des factures et des tickets de péage sur des livrets de justificatifs, le collage des timbres, la queue dans les administrations, vous passerez un temps infini au téléphone avec les Urssaf, l’assurance maladie, les impôts, la DGCCRF… vous remplirez des formulaires qui se ressemblent mais qui ne sont pas les mêmes (hé oui le Formulaire 1B34 n’a pas la question du régime fiscal du 1B42 … mais oui je le savais !) et vous pourriez même être en train de monter une serre connectée par -10°C dans le nord et sous la neige (true story)… De toute façon c’est simple, personne ne le fera à votre place.   Et aujourd'hui, pari réussi ? A force de travail et de persévérance, avec mes associés, nous avons levé un 1er million d’euros et su convaincre 70 Citoyens Pionniers et 70 serres connectées à travers l’Europe. Mais nous avons également pensé aux petits espaces et nous avons la fierté de dévoiler un véritable Jardin Vertical qui permet de cultiver de manière extrêmement productive, sur moins de 1m², trente-six plants à la fois. Une révolution dans notre manière de produire et par conséquent de consommer. Imaginez : vous pourrez produire sur votre terrasse, votre balcon, dans votre salon ou même au bureau et consommer sur place. Un produit ultra-frais, qui n’aura pas voyagé sur des centaines de kilomètres, avec un goût incroyable, des qualités nutritionnelles supérieures et bien évidemment zéro OGM, zéro pesticides et aucun produit chimique. Le tout sans besoin d’arroser et avec une gestion de semis simplifié à l’extrême. Vous ne salirez plus votre intérieur. Vous vous imaginez produire vos salades, herbes aromatiques, basilic, persil, coriandre, tomates, blettes, concombre et fraises… sur moins de 1m² ?       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 8 décembre 2017

    Calendrier de l'avent - Ioanna Deschamps (GE 04)

      - 8 DECEMBRE - Ioanna DESCHAMPS (GE 04) Fondatrice de IOANNA DESCHAMPS Paris Offrez-vous des chapeaux de luxe en cliquant ici   Passionnée de chapeaux depuis l’enfance, Ioanna revisite les codes du romantisme en puisant son inspiration dans l’art, la nature et les fashion technologies dont elle est fan. Le chapeau n'est pas une simple coquetterie pour elle. Il s'agit d'un attachement sentimental, d'un trésor. Lisez et vous comprendrez...   Comment s’est développée cette passion pour la mode ? Pendant Audencia, j’ai suivi des électifs « luxe » et « design ». Aussi à l’occasion de stages chez Rochas (vente), chez Dim (marketing), puis en agence de design chez Carré Noir. C’est en basculant dans le secteur culturel que j’ai réalisé que travailler sur le produit et dans le secteur de la mode me manquait. Fascinée par les chapeaux depuis l’enfance, j’ai décidé de suivre une formation de modiste au Lycée Octave Feuillet à Paris en cours du soir pour obtenir mon CAP Mode et Chapellerie en 2010. Pour être au plus proche du produit de luxe et de la clientèle fashion internationale, je me forme au retail chez GIVENCHY Couture à Paris. Réalisant qu’il manquait une offre chapeaux à plusieurs grandes Maisons de luxe alors que cet accessoire parfait tout simplement un look, je décide de créer ma propre Maison de chapeaux.   Pourquoi le chapeau ? Les chapeaux font partie de mon paysage depuis l’enfance. Mon arrière grand-mère tenait toujours son chapeau comme un trésor sur ses genoux en voiture lors de trajets à la campagne. Mon grand-père avait une sacrée collection de borsalinos italiens ! Le chapeau représente pour moi quelque chose de très personnel, presque mystique dont je souhaitais déceler les savoir-faire. En plus d’un accessoire de mode, c’est un objet de design. Le mouler correspond quasiment à de la sculpture ! Etre au plus proche de la matière de cet objet sensuel et exprimer ma créativité à travers la création et la confection de chapeaux m’a vraiment séduite. Jouer avec les couleurs, les formes et les matières me plaît énormément !   Comment bascule-ton dans l’entrepreneuriat ? Avec des exemples familiaux tout d’abord. Mon grand-père, photographe de mode, avait ensuite créé son entreprise d’éclairage, devenue une référence internationale en la matière. Mon mari est aussi un serial entrepreneur. Est né d’autre part une envie de prendre ma vie en main, de façonner une marque, des produits en utilisant ma créativité et la compréhension du marché, des évolutions de la mode et des attentes des clientes.   Comment vous y êtes-vous pris ? J’ai officiellement lancé ma marque IOANNA DESCHAMPS Paris à l’automne 2016. Cela faisait 9 mois (eh oui, comme un bébé) que j’étudiais le projet. Pendant cette phase, j’ai analysé la concurrence, précisé mon positionnement, trouvé les meilleurs artisans français et sourcé les matières. C’est aussi durant cette période que ma collaboration avec le fleuriste et photographe japonais Atsushi Taniguchi pour la première collection s’est concrétisée. Durant la phase d’amorçage de mon entreprise je travaillais à Neuilly Lab, un espace de travail et de conseils pour les créateurs d’entreprise à Neuilly-sur-Seine. J’ai échangé avec d’autres entrepreneurs, participé à des ateliers et obtenu des conseils et contacts précieux.  Grâce à ma participation à des Salons professionnels de la mode, j’ai développé un réseau de boutiques, concept-stores et grands magasins. Le grand magasin de luxe TSUM à Moscou nous a d’ailleurs tout de suite fait confiance en commercialisant notre première collection. L’enjeu pour se développer et faire grandir la marque sera la réalisation d’une levée de fonds, le nerf de la guerre dans l’entrepreneuriat !   Pour quels types de chapeaux avez-vous opté ? Des chapeaux romantiques, chics et urbains avec des matières de grande qualité soigneusement sélectionnées. Les rubans sont en cuir imprimés. C’est une grande nouveauté en chapellerie ! J’ai souhaité mêler chapellerie traditionnelle et une technique innovante utilisée en maroquinerie : l’impression numérique de photographies sur le cuir. Le tout, Made in France par les meilleurs artisans ! Quant aux couleurs que je propose, elles sont colorées et lumineuses, les imprimés sont fleuris et à l’effet vintage légèrement délavé.   Et si vous étiez un chapeau, vous seriez... La capeline "Orchidée" pour la douceur de son feutre, sa couleur fuchsia lumineuse et son ruban moderne et romantique en cuir, imprimé de photographies de fleurs.     <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 7 décembre 2017

    Marlène BLAISE (GE 16) - Léonie

      - 7 DECEMBRE - Marlène BLAISE (GE 16) Fondatrice de Léonie Offrez-vous une soirée de jeu entre amis en cliquant ici   "Je suis passionnée par l'état d'esprit entrepreneurial, l'entrepreneuriat à impact social et environnemental positif, les dynamiques de coopération et d'innovation." Aujourd'hui auto-entrepreneure, Marlène joue de sa créativité et nous raconte son parcours en poème...   A peine entrée en Ecole, j’ai commencé à agir comme une folle, et aussi à me questionner, à m’amuser. J’ai testé, testé, testé. J’ai rigolé. Et j’ai pleuré. Essayé, réessayé, essayé ailleurs. Au bout de quelques années, mois, semaines ou heures, je change. Associée co-fondatrice de WE DO GOOD ? Animation et responsable technique d'un MOOC sur la Gouvernance Partagée ? ça dépend de mon mood. Auto-Entrepreneure multi casquettes Cuisinière recup, pour un festival d’impro théâtre en fête ? Facilitation d’une ESC ? (élection sans candidat) Création d’un cours sur la coopération pour étrangers ? Ah ça ne changera pas ! Car là, j’ai encore changé. Accompagnatrice de Rom Sucar, groupe de musique tsigane interculturel ? créatrice de rencontres, exposante de préjugés,  Remueuse de flous, génératrice de clarté ? Et demain, j’aurai encore changé. D’humeur valseuse, ça y est je sais, je suis danseuse ! Je danse les expériences. Avec ou sans science, Avec ou sans conscience. Je danse.       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 6 décembre 2017

    Emeline BERGERON (Exec MBA 15), GOJI

      - 6 DECEMBRE - Emeline BERGERON (Exec MBA 15) Co-fondatrice de GOJI Offrez-vous un bijou connecté en cliquant ici   "En tant qu'agro, j'ai une curiosité de la vie : mon potager bio, les vignes bio locale de notre famille près de Nantes, la santé de mes enfants et la technologie pour son confort de vie... Je mets une énergie débordante dans le partage de toutes ces nouvelles choses avec ceux que j’ai le plaisir de rencontrer !"   Dans la famille GOJI, parmi les quatre entrepreneurs aux profils très divers (design, marketing, télécoms, finances dans des grands groupes et PME), je demande  la responsable du bonheur utilisateur .   Bonne pioche... en images :     <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>   Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...

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    • Le 6 décembre 2017

    Students, professors, and staff sharing the fun at ICF, Audencia's InterCultural Festival!

    The second edition of ICF, Audencia’s annual intercultural festival, took place on 21st November and was a great moment of intercultural enjoyment for its 300 guests and participants. The IMM programme took the intercultural activities very seriously: not only did its students contribute to organising the event and taking to the stage but the programme team (from four nationalities) also  performed during the festival!   "I like the mix of students, professors, and staff for this event", says Olga Kapitskaia, IMM director “and wish to contribute to keep this spirit of togetherness and intercultural exchange. This is our second year participation together with IMM student Viktoriia Murzhukhina and we are happy that people have joined for the game and had fun".  

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    • Le 5 décembre 2017

    Clotilde RANNO (GE 04) - Atelier Clotilde RANNO

      - 5 DECEMBRE - Clotilde RANNO (GE 04) Fondatrice de l'Atelier Clotilde Ranno Offrez-vous des chemises sur mesure en cliquant ici   Clotilde est passionnée par la mode et les étoffes. Attirée par les couleurs, elle a toujours souhaité travailler dans le secteur du luxe et de l’habillement. En ce 5 décembre, cette créative nous offre une interview haute en couleur et vérité...   Comment s’est révélée cette passion ? Par des stages Audencia chez Dior, Louis Vuitton. Lors de mon AIPM, j’ai également développé, chez 3M, de nouveaux produits aux multiples couleurs sur la marque Post-it. Pour mon premier job, je tenais bien évidemment à rester dans le secteur de la mode et je me suis orientée vers les études de marché chez Kantar Worldpanel en tant que Conseil Marketing Textile.   Pas d’entrepreneuriat à l’horizon ? Si, c’est venu par la suite. Après 3 années dans les études marketing, j’ai repris mes études à l’Institut Français de la Mode pour me rapprocher du développement produit, dans un 1er temps. C’est suite à cela que j’ai créé ma première entreprise et marque en 2010 : Les Lumières de la Pluie. Il s’agissait d’une ligne de vêtements haut de gamme pour femme, éthique, bio, made in France et au style romantique.    Comment s’est passée cette 1ère expérience ? Pas vraiment comme je l’aurais aimé. J’avais choisi un business model orienté B2B : il s’agissait donc de vendre des collections à des revendeurs comme les boutiques indépendantes multi marques, les concept stores et dans un second temps, les grands magasins. Les débouchés commerciaux internationaux sont colossaux, y compris pour une petite marque, en particulier lorsqu’on expose à Paris. Cependant, ce business model nécessite une solidité financière et une structure que j’avais largement sous-estimées. De plus, la concurrence est extrêmement intense, les acheteurs recherchent des prix de plus en plus bas et les boutiques multi-marques sont de moins en moins nombreuses, remplacées par des chaînes. Et les annulations de commandes et factures non payées sont légion…   Comment réagir dans une situation pareille ? J’ai décidé de me relancer sur un business totalement différent et de manière bien plus pragmatique, en novembre 2014 : les chemises sur mesure, destinées aux hommes puis aux femmes. Ayant alors très peu de moyens, j’ai réussi à ouvrir un showroom à Paris Opéra et à présenter une offre complète en un temps record.  Etant toujours passionnée de mode, cela me permet d’allier mon côté créatif à mon goût pour l’habillement et l’artisanat, ce que j’aime partager avec chaque personne qui visite mon showroom.   L'astuce entrepreneuriale pour vous relancer ? J’ai utilisé mon savoir-faire dans les études marketing pour trouver mes premiers clients avant même d’ouvrir mon showroom ! En septembre 2014, j’ai envoyé un questionnaire à plus de 2000 personnes cibles, 200 ont répondu et 40 sont venues m’acheter des chemises lors des 3 premiers mois car j’avais offert une petite réduction aux personnes répondant à mon étude.   Alors, heureuse ? Oh oui ! Pour moi, l’entrepreneuriat, c’est avant tout une aventure humaine, qui personnellement m’a permis de grandir, de prendre confiance en moi et de me trouver. J’ai traversé beaucoup de tempêtes, et aujourd’hui, je vis ma vie à 100%. Je suis heureuse d’avoir un métier créatif, qui demande beaucoup de polyvalence, et surtout qui a du sens et me permet de mettre en valeur les meilleurs savoir-faire artisanaux au monde et les plus belles étoffes.       <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>     Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...  

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    • Le 4 décembre 2017

    Laurent CARALP, Matthieu FAVROUL, Alexandre KIPP (GE 15) - Tentation Fromage

      - 4 DECEMBRE - Laurent CARALP, Matthieu FAVROUL, Alexandre KIPP  (GE 15) Co-fondateurs de Tentation Fromage Faites-vous livrer vos fromages en cliquant ici   "Digitaliser le Fromage"   Voilà l’objectif que se sont fixés Matthieu, Laurent et Alexandre, trois épicuriens qui se sont rencontrés sur les bancs d’Audencia Business School. Passionnés de gastronomie et de produits du terroir, ils avaient pour habitude de se retrouver autour d’un bon plateau de fromages ! Qui n’a pas connu cette scène ? Faire la queue chez le fromager avec un monde fou derrière et quand vient son tour, même si on a envie de demander conseil au fromager pour constituer le meilleur plateau de fromage de l'année, on se contente de demander le fromage habituel... Cette expérience, ils l’ont vécue ! Amateurs de bonne chère et désireux de rendre le marché du fromage plus accessible à leur génération, planquée derrière leur ordi, Matthieu, Laurent et Alexandre ont un autre point commun : l’envie d’entreprendre. Ils souhaitent donc joindre l’utile à l’agréable. Permettre aux fromagers d'avoir une visibilité en ligne et de vendre leur fromage sur internet… voilà la bonne idée ! Une plateforme sur laquelle on peut commander, en deux clics, son fromage chez son commerçant de quartier préféré. C’est ainsi qu’est née, en 2014, Tentation Fromage, une marketplace à destination des fromagers, afin de rendre le fromage plus accessible pour tous ! Cependant, pas question de devenir une fromagerie en ligne ou un "Uber" du fromage ! L'idée, c'est de contribuer à rapprocher une certaine génération de consommateurs du commerçant traditionnel, le fromager. Tentation Fromage s’inscrit aujourd’hui comme une start-up pionnière dans le développement de la foodtech en France.   « À 25-35 ans, on ne fait pas les courses de la même manière, complètent-ils en choeur. Le marché du fromage n’a pas évolué depuis 50 ans, nous l’avons dépoussiéré ! ».         <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>   Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...

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    • Le 4 décembre 2017

    FÉLICITATIONS À NOS DIPLÔMÉS DU BACHELOR ET AUX MAJORS - PROMO 2017

    Nous tenions à féliciter une nouvelle fois nos 158 diplômés de la Promotion 2017, et tout particulièrement nos majors, dont voici le palmarès : Major de promo : Audrey Brossard Kimmel 2e de promo : Manon Briant 3e de promo : Louise Rolland Majors de filières : - Management Commercial : Simon Bernard - Management Commercial en Alternance: Aurélie Lebot - Import : Pauline Guillaume - Export : Louise Rolland - Marketing : Audrey Brossard-Kimmel - Communication : Audrey Vallée - Entrepreneuriat : Manon Briant Très bonne continuation à vous tous et au plaisir de vous revoir très prochainement, lors des différents événements organisés par le Réseau Audencia Bachelor Network​ & Audencia Alumni​ !

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    • Le 3 décembre 2017

    Natacha GAN (GE 14) - Atypic' Photo

      - 3 DECEMBRE - Natacha GAN (GE 14) Fondatrice d'Atypic' Photo Offrez une balade photo insolite en cliquant ici   "C’est par l’argentique que ma passion pour la photo a commencé, il y a plus de 15 ans"   Natacha a eu l’occasion de consacrer son API à la photo (Brassaï, Paris XV), puis de travailler durant 3 ans dans un cabinet d’études et de conseil dans le secteur de l’environnement (Gallileo) avant de se dédier entièrement à la photographie en fondant ATYPIC’. Son ambition ? Donner à voir la ville telle qu’un photographe la perçoit et démocratiser l’apprentissage de la photo. Natacha vous embarque dans son univers avec quelques clichés qui, pour elle, ont une vraie portée symbolique sur ce qu’est le parcours entrepreneurial. .  Entreprendre, c’est savoir passer par des zones d’ombre… et de lumière ! On idéalise aujourd’hui beaucoup la création d’entreprise, le fait d’être « à son compte » et d’être « libre »… Mais entreprendre, c’est une forme de liberté créative, mais pas une liberté d’esprit !  Entreprendre, c’est savoir toujours regarder vers le haut, vers ce qui nous anime, tester, se tromper et rebondir ! Rester « focus » sur son ADN, ses valeurs, son projet tels qu’on l’envisage. En tant qu’entrepreneur(e), on reçoit toujours beaucoup de conseils, de divers horizons, de personnes qui vont percevoir votre projet sous un angle différent : il faut savoir ce qui peut vraiment donner une plus-value à son projet, et mettre le reste entre parenthèses.   Des rencontres formidables et des plus enrichissantes :  provoquées, fortuites, amenées, mais toutes fantastiques !        <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>   Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...

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    • Le 2 décembre 2017

    Quentin BASSI (GE 07), Wine On Demand

      - 2  DECEMBRE - Quentin BASSI (GE 07) Co-fondateur de Wine On Demand Offrez-vous votre vin de Noël en cliquant ici   "En 2014, j'avais l'idée d'une boîte. Wine On Demand était au début une aventure, c'est maintenant une entreprise". Ce passionné de vin, qui fête aujourd'hui même ses 10 ans de diplôme avec sa promo, nous raconte son parcours en images...     <<  (re)découvrez l'ensemble de votre CALENDRIER DE L'AVENT ici  >>   Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...

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    • Le 1 décembre 2017

    Hélène DE VESTELE (GE 15) - EDENI

      - 1er DECEMBRE - Hélène de VESTELE (GE 15) Fondatrice d'Edeni Offrez-vous les ateliers Edeni en cliquant ici   " Le Zero Waste passe par un quotidien sans déchets, ni gâchis. Le meilleur déchet est celui qui n’existe pas. L’important n’est pas de transformer un déchet en ressource, mais vraiment de ne pas gâcher notre vie, nos opportunités, notre bonheur. Tout comme nous sommes ambitieux pour nos carrières professionnelles, n’ayons pas peur d’être ambitieux pour faire les choses bien." C'est décidé, Hélène souhaite changer le monde. Pas dans 20 ans... maintenant ! C'est comme cela qu'elle crée les ateliers Edeni qui offrent les clés, les secrets de cette métamorphose à portée de chacun, dans notre quotidien.  Cette ancienne conseillère du gouvernement argentin nous en dit plus en images : Les prémices d'une vie engagée Dès les classes préparatoires, je savais que je voulais participer à l’amélioration de nos sociétés. A Audencia, je découvre une école qui accorde une grande place à l’associatif (et donc à l’exécution concrète de projets). En parallèle de la gestion du BDE, je crée un projet au sein d’ENACTUS (1ere association étudiante mondiale d’entrepreneuriat social) de tourisme responsable, tout en préparant mon Année de Projet Individuel, cette opportunité incroyable qu’offre la Business School pour celles et ceux qui ont un projet solide et besoin de temps pour le réaliser. Grâce au parcours RSE-WWF , j'identifie ce que je veux : découvrir les façons de vivre responsables à travers le monde. Rencontres étudiantes, concours, sac à dos : je pars un an explorer le monde.   La nécessité d'un monde 'plus propre' Lors de ce tour du monde sur la découverte des modes de vie responsables, sur 150 foyers dans plus de 60 pays, j'ai réalisé à quel point nos déchets sont un problème en voyant les décharges à ciel ouvert. En Amérique Latine, alors conseillère auprès du ministre de la Modernisation, j'ai ressenti l’urgence d’agir en voyant tous les experts environnementaux boire dans des bouteilles d’eau en plastique lors d’une commission pour le G7. C’était toujours le même constat : prévoir des projets sur 20 ans alors qu’il y a tellement de choses à notre portée au niveau écologique, social et éthique à faire maintenant. Il ne s’agit plus d’être circulaire juste sur le cycle de vie d’un produit, il faut l’être dans toute la société.  Le triple constat à l’échelle individuelle - Le manque de connaissances des alternatives, des start-ups, des associations, des médias indépendants qui relaient ces initiatives, des astuces DIY comme faire de beaux furoshiki (papiers cadeaux en tissu japonais), etc.  - Le manque de confiance de ces alternatives (leur efficacité est-elle prouvée ? si oui, pourquoi on ne les utilisait pas avant ?). De plus, beaucoup de blogs ne mettent pas leurs sources et certaines personnes peuvent être de bonne foi mais avec une méthode qui manque de rigueur.  - Le manque d’accompagnement pour connaître et pratiquer le Zero Waste, alors qu’il existe des coachs pour arrêter de fumer ou se mettre au sport par exemple. Le Paradis sur Terre dans un bocal d’1L Toujours en Amérique Latine, j'ai particulièrement été touchée par le concept de la Pachamama, cette figure inca qui représente la déesse-terre pour de nombreuses cultures sud-américaines. Pour eux, le paradis est maintenant, sur Terre, du temps de notre vivant en tant qu’individu, et tout le monde doit prendre soin de notre planète et agir avec bienveillance les uns envers les autres. C’est ainsi que j'ai eu l’idée de créer edeni, du mot « éden » qui signifie le Paradis sur Terre, et qui se prononce facilement dans toutes les langues. En effet, edeni a d’abord été lancé en Argentine sous la forme d’une association pour diffuser les bonnes pratiques Zero Waste. Cela a été une vraie transformation pour moi qui ai réussi à limiter mes déchets à un bocal d’1L en un an ! En recevant le prix « Talent d’Avenir » aux Audencia Alumni Awards 2017, j'ai alors démissionné du gouvernement argentin pour lancer edeni en France. Bon, soyons concret et efficace… Hélène vous en dit plus sur le plastique par exemple en cliquant ici...   "Le futur souhaitable, nous n’avons pas à le prévoir, mais à le permettre."      Découvrez les entreprises des entrepreneurs ici...   Source de certains passages : "La Relève et la Peste"

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    • Le 24 novembre 2017

    Lancement de l'Ebdo, journal papier à l'ère du numérique

    Rencontre avec l'équipe de l'Ebdo le mardi 28 novembre au Mediacampus.    Ebdo, c’est un journal papier à l’ère du numérique, sans publicité et totalement indépendant. Le premier numéro sortira le 12 janvier 2018, disponible en kiosque et sur abonnement. Ebdo parlera de l'actualité mais aussi des choses du quotidien et des initiatives solidaires, pour nous donner envie de faire avec nos mains et d'agir avec les autres. A l’occasion d’une soirée conçue en partenariat avec le Club de la Presse de Nantes et Audencia Business School, venez rencontrer l’équipe fondatrice d’Ebdo pour débattre des grandes questions du journalisme. Qu’attendez-vous d’Ebdo ? Pourquoi faire le choix du papier ? Quel business model ? Quelle place accorder au numérique ? En quoi Ebdo peut-il ré-enchanter le journalisme et redonner confiance aux médias ? Autant de questions à poser directement à l’équipe présente sur le MEDIACAMPUS d’Audencia le 28 novembre ! Inscription par ici. 

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    • Le 13 novembre 2017

    Soirée spéciale « Audencia Sport Business Influencers’ party » - vendredi 24 novembre - Paris

    A l’occasion des 25 ans du MS MOS, une soirée spéciale « Audencia Sport Business Influencers’ party » est organisée le vendredi 24 novembre 2017 à « La Baleine Blanche » sur les quais de Seine à partir de 19h00.   Vous êtes plus de 500 diplômés d’Audencia à travailler aujourd’hui pour les meilleures organisations (ASO, clubs pros, fédérations…) et sur les plus grands projets (Paris 2024, FIFA-WWC19…) de l’industrie du sport en France et dans le monde. Cette soirée est pour vous !   Les bonnes raisons de venir : Venez retrouver vos copains de promotion Booster votre réseau professionnel en rencontrant des diplômés aux parcours variés et influents dans le monde du sport Echanger sur votre parcours et votre retour d’expérience avec d’autres diplômés Passer un bon moment dans un cadre convivial et festif dans un lieu atypique et plein de charme sur les quais de Seine Au programme : Retour sur l’évolution du programme MOS Des animations ludiques et décalées pour vous présenter ce que deviennent les diplômés du MOS, un jeu pour connecter entre vous Une remise de prix D’autres surprises à venir   Venez nombreux !     INSCRIPTION

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    • Le 18 octobre 2017

    Connecting people at Huawei and beyond

    Daisy Wang, International Master in Management (2012)   Background After two years focused on fast-moving consumer goods (FMCG), Daisy Wang decided to change her career path and accept a position with leading global information and communications technology (ICT) provider Huawei. “Huawei needed someone like me with business training who can speak three languages,” explains Daisy, who speaks English, French and Chinese.   Before earning her International Master in Management from Audencia Business School, Daisy earned a Bachelor of English from Zhejiang University (China) – and during her Audencia internship in Paris, she began really working on her French. “During the workday, we’d communicate in English, but after work, everyone spoke in French. I am communication-oriented, so I was very motivated to learn French well!” After graduating, Daisy took additional French language courses to improve her fluency.   Current occupation Daisy started at Huawei Technologies France in 2015 as an event coordinator and assistant to the president. She has since worked her way up to B2B Client Relations Management (CRM) Specialist. “I was actually very lucky to start at Huawei as the assistant to the director. I learned a lot. It is a great position to give you a complete picture of the departments and processes.” Currently, her primary responsibility is handling Huawei’s client relations with Orange, one of the largest operators of mobile and internet services in Europe and Africa. “Orange is a valuable partner – an important global account. I work with their headquarters and affiliates to manage the entire account,” she says. This means Daisy supervises all of Orange’s individual account managers at Huawei to coordinate strategy and information flow, setting the standard for everyone to follow. “This work requires project management and market analysis. And it can be a bit political, with various ‘votes’ from members of the larger client group.”   Motivation Daisy says she always wanted to join a top 500 company – but at first, it was a bit difficult to get established within the European market. “I really wanted to gain a deep understanding of the French market through my work, but companies kept wanting to send me back to China to work.” Then an opportunity opened up at Huawei. “Huawei Technologies France is centralised. Our headquarters are in France, so we speak French, but we also need people who can speak Chinese and understand Chinese culture, as well as speak English. Huawei is very international and has a huge impact on the telecom sector. We don’t follow the market; we influence the market,” she says. Daisy admits there’s a steep learning curve going from B2C to B2B, but she believes that working in client relations management is a good way to enter the sector. “It is quite easy to understand and manage things from this angle.” Still in her first year in the position of CRM Specialist, Daisy starts work early and finishes late. “But this is necessary for a beginner,” she says. “Eventually, I want to be a high-level manager so that I can share my experience with younger employees and help people improve their work.”   Personal interests and passions “Travel and fashion! After my Audencia internship in Paris, I was a fashion buyer for six months and could really follow the trends. I still try to, but it’s a bit harder now with this challenging job,” she laughs.   Staying in touch with Audencia Daisy participates in Audencia Alumni events when she can – especially networking, and discussions and trainings on finance, marketing and digital marketing. “I think these activities are quite amazing.” She also keeps in touch with classmates via social media. Daisy wants current Audencia students to reach out to her if they need guidance or are interested in internship opportunities. “Audencia is one of the main reasons I’ve been able to achieve my goals, so I’m happy to help. Our business at Huawei Technologies France is always developing, and we have a lot of openings for jobs and internships.”   Advice to students and graduates Daisy’s advice is to make a plan. “Figure out what you want as soon as possible. Maybe your path won’t be exactly what you planned, but you have to have a general idea of what you want. Eventually, you will get there.”   Most memorable experience at Audencia Daisy has fond memories of a business competition that she participated in through Audencia while in Barcelona. “I was part of the finance team, and it was quite a good experience in building the multicultural teamwork skills that I use now in my job.” Daisy’s colleagues at Huawei are French, Chinese and international. She says meetings may start in English, move to French, and then transition to Chinese. She coordinates so that everyone stays on the same page. “All the teamwork and projects at Audencia have helped me function effectively in Huawei’s multicultural work environment.”

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